Centre Médico-Psychologique Adultes Calliope Service de santé mentale

3 Pl. Pierre Bérégovoy, 78114 Magny-les-Hameaux
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Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur le Service de santé mentale Centre Médico-Psychologique Adultes Calliope qui ce trouve au 3 Pl. Pierre Bérégovoy, 78114 Magny-les-Hameaux (78)..

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Les services :

  • ✔️ Parking accessible en fauteuil roulant
  • ✔️ Toilettes accessibles en fauteuil roulant
  • ✔️ Toilettes
  • ✔️ Rendez-vous recommandés

Ouvert

Horaire d'ouverture

  • Lundi 09:00–17:00
  • Mardi 09:00–20:00
  • Mercredi09:00–17:00
  • Jeudi 09:00–17:00
  • Vendredi 09:00–17:00
  • Samedi Fermé
  • Dimanche Fermé

Plan d'accès :

Les avis clients (4)

3 sur 5.0
  • Avatar de patricia.e
    patricia.e 22/02/2025 à 18:02
    Note de : 1 / 5

    Étant bipolaire, je n'est plus de nouvelles depuis environ 5 ans de ma psychiatre, on m'a laissé tomber..... Honteux

  • Avatar de Loro.o
    Loro.o 11/10/2020 à 12:14
    Note de : 1 / 5

    Une expérience navrante. Le CMP est bien souvent le premier recours pour les personnes en difficulté. Je m’y suis référée car j’étais dans un état de fragilité absolue, en profonde dépression, avec des pensées suicidaires. Mon premier rendez-vous, avec deux infirmiers, s’est très mal passé : au bout de 5 minutes à peine d’entretien, j’étais en larmes et ai du implorer l’infirmier (M. Cerveza) de cesser de m’interrompre constamment, lui expliquant que je n’étais pas douée avec la confrontation. Quand j’essayais d’exposer mes problèmes, j’étais en permanence coupée par ce même infirmier qui semblait impatient et peu disposé à faire preuve de bienveillance. Au contraire, il semblait qu’il essayait de me pousser dans mes retranchements - une approche assez consternante de la thérapie lorsqu’on s’adresse à une jeune patiente déjà fatiguée, fragilisée et déboussolée. Aller dans un CMP n’est pas une démarche anodine, et cette approche antagoniste, ajoutée à ma détresse initiale a achevé de me mettre dans tous mes états. Je trouve ça tout simplement ahurissant et scandaleux que ce soit le premier contact qu’une personne en difficulté ait avec le monde des professionnels de la santé mentale. Un CMP devrait être un lieu sécurisant, et l’accueil devrait être adapté aux personnes fragilisées et procurer une forme de soutien, non pas les heurter. Cela paraît pourtant évident mais visiblement ce n’est pas le cas ici. Au cours de mes visites suivantes avec ce même infirmier, j’ai eu la joie de l’entendre me déclarer que j’étais névrosée, que je me mettais tout simplement trop la pression, que tout dépendait de moi, et que, comble du comble, j’avais peut-être simplement besoin d’amour. Somme toute : un paternalisme qui m’a profondément rebuté, accompagné d’une permanente minimisation de mes problèmes. Je lui ai mentionné la suspicion d’un potentiel TDAH, ce à quoi il m’a répondu un surprenant mais catégorique « je vois pourquoi vous dites ça... mais non ». Avant de monologuer sur ces troubles (ainsi que les troubles autistes) qui appartiendraient à une « mode anglo-saxonne » et seraient bien trop diagnostiqués, ainsi que sur le traitement de Ritaline qui serait dangereux. Un discours alarmiste et mal informé, totalement déplacé de la part d’une personne qui n’est pas médecin psychiatre mais infirmier en psychiatrie. Une approche des pathologies et de leurs traitements somme toute datée et bourrée d’inepties. Des propos d’une grande violence. Nous nous sommes finalement quittés sur ces mots « je ne vous prescris pas de médicaments et ne vous prends pas de rendez-vous avec un psychiatre. Vous n’en avez pas besoin ». Décret surprenant de la part d’une personne m’ayant entendu mentionner à plusieurs reprises mes pulsions suicidaires et ma profonde détresse. Je me suis donc résignée à mettre la main au porte-monnaie pour trouver par moi-même une psychiatre compétente. Je suis aujourd’hui diagnostiquée TDAH et suis sous traitement de Ritaline. Ma qualité de vie a grandement augmenté. C’est malheureux parce que je suis convaincue que les CMP sont une structure profondément nécessaire, mais l’accueil et le suivi que j’ai reçu dans celui-ci étaient tout simplement lamentables. Je ressortais des consultations honteuse, déboussolée, harassée, ayant l’impression d’avoir dû passer l’heure entière à défendre la légitimité des mes problèmes et de mes difficultés plutôt qu’à réellement travailler à les régler. Discuter de ses problèmes psychologiques et psychiatriques n’est jamais tâche aisée, et il est dur de dépasser la honte que la parole inspire parfois, notamment lorsqu’on souffre d’un trouble neurologique non-diagnostiqué. Il est primordial que les CMP soient des lieux d’écoute où les patients peuvent parler en toute sécurité de leurs doutes et difficultés. Ce n’est pas le cas de celui-ci et c’est désolant. Je suggère une réévaluation des stratégies d’accueil et de thérapie.

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