Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur le Psychothérapeute CMP de ceret qui ce trouve au 7 Chem. de Vives, 66400 Céret (66)..
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J'ai été suivi dans ce CMP. J'ai réclamé mon dossier médical, ce que devrait faire chacun·e. C'est un droit. J'ai un trouble anxieux depuis l'enfance, voire un léger trouble de la personnalité (autodiagnostic). Un psychiatre (qui m'a rencontré deux ou trois fois 10 minutes, la plupart du temps dans le silence et les yeux rivés sur un écran d’ordinateur) m'a diagnostiqué une schizophrénie simple (noir sur blanc dans le dossier, mais il ne me l'a pas annoncé en consultation). A la question vous pensez à la mort ?, je lui ai répondu parfois (comme tout un chacun, non ?). Résultat : prescription d'un fort dosage de miansérine (indiqué pour les dépressions sévères). Dans une attitude de soumission ou de respect de la figure d’autorité (légitime ?) du médecin, j’ai accepté à mes dépens cette ordonnance : une prise unique m'a assommé pendant cinq jours. Question : j'étais dépressif sévère, ou schizo, ou les deux...?! Bizarrement, lors de la consultation précédente, il m’avait trouvé stabilisé, la prise en charge au CMP était inutile, et il préconisait cependant une orientation vers une psychothérapie en libéral, malgré ma situation sociale (ah, cette file active qui colle comme un sparadrap...). Les rapports de l'infirmière référente, qui m'a suivi avant de partir en formation (?), montrent qu'elle s’égarait. Un exemple parmi d'autres : j'avais acheté un studio où il y avait un vice caché grave, j'ai confié ma voiture à un garagiste pour un problème de boîte qu'il n'a pas réglé malgré une facture élevée, j'ai passé un entretien d’embauche et l'employeur m'a demandé mes pathologies (le droit du travail l'interdit, bien sûr), etc, etc. J'avais évoqué tout cela à cette infirmière, ainsi que mes démarches pour faire valoir mes droits en retour. En conséquence, selon elle, je suis procédurier (en psychologie sociale, on dit qu’elle attribue la faute à la victime, c’est le fameux « victim blaming » très répandu pour maintenir l’ordre et la violence de la classe dirigeante). Elle me laisse plein d'autres pépites écrites, et je ne sais pas s'il faut en pleurer ou en rire. Bref, on présente des faits, on les étaye. Quiconque pourrait, dans une démarche rationnelle, les vérifier. En retour, la « soignante » pose des formules qui expriment des jugements de valeur : procédurier, interprétatif, propos brouillés... Et cela fait foi dans un dossier médical. Elle m'avait paru à l'écoute et compréhensive, c'était un double jeu. J’ignore si son tabagisme autodestructeur, entre les entretiens, aide ou dessert son discernement, dans l’exercice de sa profession. Il n'y a qu'une psychologue (pas spécifiquement freudienne, et c’est tant mieux) et l'infirmière rencontrée en remplacement de la première qui ont semblé montrer quelques signes de raison et de compétence, comme en attestent leurs rapports. Je comprends que les institutions publiques de santé (mentale notamment) sont les hard-discounters du genre. Mais mes expériences dans les CMP montrent que la mission de ce type d'institutions relève plus de la surveillance sociale (qui ne demande pas de compétences réelles en matière de santé), que d'une démarche de soins qualitatifs sur les populations cibles. Faute de financement évidemment, mais aussi de volonté et d'engagement humain, bref à cause du « système ». Histoire de fous...
Premier rdv avec une infirmière Psy et maintenant suivi par une psychiatre tout gratuitement.... Sans même besoin d'une carte vitale ou carte d'identité Personnels accueil : bien (très efficaces dans les moments de crises) Ensuite la clientèle dont je fais partie ben ... C'est de l'aide psy donc... il a de tout... Du tragique au comique en passant par de la paranoïa et de la dépression... Avec quelques gouttes addiction multiples.
Pas à l'écoute de ses patients, ne propose aucune aide psychiatrique alternative. Quand le patient se plaind de problème psy le personnel ne fait rien pour pallier à ce problème. Et personnel en retard de plus de 30 minutes.