Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur le Église catholique Église Saint-Georges / Presbytère qui ce trouve au Rue Jean Macé, 03160 Bourbon-l'Archambault (03)..
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Très belle.
Très jolie église
Prêtre très à l'écoute pour préparer les obsèques
Très belle église. De plus, on peut vénérer en se rendant au presbytère tout proche les précieuses reliques du Christ : une épine de sa couronne et quelques fragments de sa Croix.
Très belle église
Eglise imposante. Pas de visite office en cours...
Église moniale devenue paroissiale elle a recueilli quelques élément des saintes chapelles de la forteresse lors de leurs destructuons à la période révolutionnaire. L'église si elle est notable est malheureusement très sombre. Comme beaucoup de bâtiments sacrés en France elle souffre d'un manque d'entretien flagrant.
Magnifique😊
Église extérieurement simple mais avec un intérieur peint très joli bien que légèrement abîmé par le temps. Elle n'est pas éclairée en dehors des cérémonies donc attention à la petite marche au milieu ...
Belle église. A voir en été... Sans lumière intérieure l'église est vraiment très sombre : on n'y voit rien
Très bien
Beaux monuments dommage que cette ville et ses monuments soient si mal entretenus
C'est un endroit magnifique et merveilleux, je l'aime beaucoup.
Belle!
Accueil très chaleureux. Père Jean-François très à l'écoute et disponible.
Église Saint-Georges Au XIIe siècle, la chapelle du monastère des « Dames de Saint-Menoux » fut construite à l'emplacement où se dressait autrefois un temple romain dédié à Apollon. Ce n'est que lorsque l'église Saint-Germain tomba en désuétude que cette chapelle devint en 1732 l'église paroissiale, siège d'un important archiprêtre (sorte de doyen) du diocèse de Bourges. Au lendemain de la Révolution française, l'insigne relique de la Vraie Croix et une épine de la Sainte Couronne ont été soigneusement cachés dans cette église. Cette épine fut amenée ici, dans la province du Bourbonnais, en 1287 par Robert, fils de Saint-Louis, marié à Béatrice, dame de Bourbon et dernière descendante des seigneurs de Bourbon. La chapelle originale avait la forme d'une croix latine. La chapelle avait trois nefs. La plus importante d'entre elles était flanquée de deux chapelles dédiées à « Sainte-Trinité » et à « Notre-Dame ». Le chœur a été légèrement déplacé vers la gauche, comme c'était le cas pour de nombreuses églises de cette époque. Une référence à la tête du Christ sur la croix. Au XVe siècle, les bas-côtés au niveau de la troisième travée sont agrandis de deux chapelles latérales de style gothique. Cela donnait à la chapelle, pour ainsi dire, un faux transept. La chapelle de droite (côté sud) date probablement du début de ce siècle. Vous entrez dans cette chapelle par une porte avec un arc en panier. Elle présente une voûte d'ogives et est éclairée par deux fenêtres en forme de trèfle. A l'origine, elle était dédiée à Saint-Crépin. On parle désormais de la Chapelle Saint-Georges. La chapelle de gauche date d'une époque un peu plus tardive. Elle présente également une voûte d'ogives et est éclairée par une fenêtre à rampage flamboyant. A l'origine elle était consacrée à « Messire Saint-Antoine ». Elle fut ensuite dédiée au « Vigier » et au « Saint-Aubin ». Mais depuis le 12 juin 1792 - jour où furent conservées les reliques de la Sainte-Chapelle du château - elle est appelée chapelle de la Sainte-Croix. Entre 1845 et 1851, M. Esmonnot fait réaliser d'importants travaux. Les chapelles absidales furent démolies, l'église fut agrandie de deux travées et dotée d'un chœur avec un déambulatoire auquel se raccordent trois chapelles rayonnantes. Entre 1871 et 1880, les transepts sont agrandis de deux chapelles semi-circulaires : la Chapelle de la Sainte-Vierge en 1872 et la Chapelle du Sacré-Cœur en 1879. Le portail principal - avec son profond élargissement vers l'intérieur situé dans l'axe de la nef centrale - est constitué de quatre arcs en couronne soutenus par huit piliers dont les chapiteaux sont décorés de formes géométriques, de motifs de feuilles et de têtes humaines. L'extérieur du portail se compose de deux colonnes plus larges avec chapiteaux. L'ancien tympan en pierre a été remplacé par une statue en bois de « Saint-Georges » avec le dragon. Le clocher, gravement endommagé par la foudre en 1754, fut démoli au lendemain de la Révolution française. Elle ne fut reconstruite qu'en 1865. Les deux étages de la tour sont ornés d'arcatures, tandis que la base de la flèche très pointue est entourée de quatre clochers. La tour elle-même s'appuie sur une coupole dont la base octogonale est située au-dessus de la croisée du transept. L'intérieur présente une cinquantaine de chapiteaux ornés de guirlandes, d'oiseaux, de plantes aquatiques et de personnages. Le plus beau chapiteau est peut-être celui des « musiciens » sur le côté gauche de la chapelle Sacré-Cœur, avec un personnage qui semble mesurer la mesure, tandis que d'autres jouent du violon, de la flûte de pan et du cor.