Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur le Église catholique Eglise Saint-Pierre qui ce trouve au 10 Pt Rue du Palais, 82340 Auvillar (82)..
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Belle église à l'origine romane, bâtie par la suite en pierre blanche et remanié un style gothique. Elle a traversé la guerre de Cent Ans et les guerres de religion avant de subir quelqued travaux de restauration. On y decouvre une nef avec des voûtes croisés d'ogives ainsi qu'un retable représentant l'Assomption de la Vierge. A l'extérieur, il est possible d'admirer la Garonne et ses vergers. Une visite à ne pas manquer.
très jolie
Belle église.
Sympa le dragon sur un poirier.
Très belle église L’église d’Auvillar mérite certainement une visite. L’extérieur tourmenté résulte d’une histoire mouvementée, entre la guerre de cent ans et les guerres de religion. A l’intérieur, le retable du maître hôtel où les jeux de lumière à travers les vitraux valent véritablement le coup d’œil.
Admirer son extérieur mais également à l'intérieur la chapelle aux trésors
Magnifique église. N'hésitez pas à la visiter...
En pleine rénovation lors de mon passage cette belle église est la plus vaste du Tarn et Garonne. Elle existerait depuis 1261 et est classée MH. Elle fait partie du Diocèse de Montauban. A visiter lors du passage à Auvillar
Ciné devant l église Très beau cadre
Excellent accueil. Bénédiction des pèlerins et verre de l'amitié à la sortie de la messe offert par la paroisse. Très bel échange sur notre Chemin de Compostelle.
Acceuil courtois et engagent ( Mr Pierre ) , agréable visite invitant à la méditation , je recommande cet impressionnant monument ❤️😇
Magnifique
Les traces les plus anciennes du christianisme à Auvillar datent du xiie siècleavec l'église et une inscription funéraire. L'église romane du xiie siècle composée d'une nef flanquée de bas-côtés se terminant sur l'abside centrale et deux absidioles latérales orientées. On ne sait pas si cette église avait un transept. Dans la Monographie du Mas-Grenier, Adolphe Jouglar relève des mentions d'un prieuré à Auvillar au xiie siècle. Cependant François Moulenq, dans les Documents historiques sur le Tarn-et-Garonne ne reprend pas ces informations. Une inscription funéraire datée de 1187 a été retrouvée dans un contrefort du clocher : † KALENDIS MARCII INCARNATI VERBI ANNO M. C.L. XXX. VI. OBIIT R. P.DESLEMOS CAPELLANUS. ISTIUS ECCE. « Aux Kalendes de mars (1er mars) de l'an 1186 (1187 nouveau style) du Verbe Incarné, mourut R. P. Deslemos, chapelain de cette église ». L'église est sous la dépendance de l'abbaye de Moissac jusqu'à la fin du xiie siècle d'après A. Jouglar qui cite un acte de 1205 entre l'abbaye de Moissac et l'abbé du Mas-Grenier[1]. Le prieuré peut appartenir à l'abbaye du Mas-Grenier dès la fin du xiie siècle. La première citation concernant cette église date de 1261 quand Bernard de l'Isle, prévôt du chapitre de Saint-Étienne de Toulouse, restitue le prieuré à Raymond de Septens, abbé du Mas-Grenier. Le démontage du retable du maître-autel en 2012 a montré qu'un vaste chœur rectangulaire de deux travées a été construit au xiiie siècle, très probablement après la restitution du prieuré à l'abbaye du Mas-Grenier. Le pape Clément V est le frère du seigneur d'Auvillar, Arnaud Garcie de Goth. En juin 1304, encore archevêque de Bordeaux, il vient visiter le prieuré et y célèbre la messe. Le 3 janvier 1307, le pape Clément V confirme depuis Villandraut la nomination du neveu de l'abbaye du Mas-Grenier, Girmond de Hautpoul, comme prieur de Saint-Pierre d'Auvillar. Le pape y fait encore un court séjour le 12 et 13 décembre 1308. La nef a été reconstruite au xive siècle depuis les absidioles jusqu'à la façade occidentale. Des auteurs attribuent cette reconstruction au pape Clément V, sans preuves. Adolphe Jouglar indique que la reconstruction de l'église a été initiée en 1340. Les archives du Mas-Grenier indiquent qu'un traité est passé entre le recteur, le prieur et consul d'Auvillar d'une part et le chapitre de la cathédrale Saint-Étienne d'Agen pour la réparation de l'église d'Auvillar et la reconstruction du clocher[2]. La présence de deux enfeus au début de la reconstruction permet de supposer que les travaux ont aussi été financés par des particuliers. Il ne reste plus de l'église romane que l'absidiole nord et quelques portions de l'arc triomphal de l'abside de la nef centrale. En 1387, Jean III d'Armagnac, vicomte d'Auvillar, confirme les Coutumes d'Auvillar et reçoit le serment des consuls de la ville dans le bas-côté de droite de l'église[3]. L'église Saint-Pierre est située hors des remparts de la ville, près de la porte Saint-Pierre. Au xive siècle, l'église a eu à subir des dégâts pendant les guerres anglaises. Des travaux sont entrepris dans le chœur au début du xvie siècle, ce qui avait amené des historiens à affirmer qu'il avait été construit en 1505. Mais du chœur du xiiie siècle, il reste les murs, les contreforts extérieurs, quatre supports d'angle placés aux quatre angles du chœur, les grands arcs formerets en brique. Les voûtes avec les chapiteaux ont été refaits ainsi que le mur du chevet. Sur ce dernier, un contrefort extérieur est ajouté dans l'axe du mur et la grande fenêtre est remplacée par deux fenêtres. Il ne semble pas que ces travaux aient été faits par Gérard de Prat qui a été prieur d'Auvillar et abbé du Mas-Grenier entre 1497 et 1500 car on ne trouve pas son blason dans ceux qui ont été sculptés dans l'église. En 1493, Raymond de Bernard, prêtre, fonde une chapellenie dans la chapelle Notre-Dame-de-Pitié qu'il a fait construire. Suite sur Wikipedia...
Lieu couvert d'histoire