ENSA Bourges École d'art

Très désagréablement surpris par la découverte d'un corps enseignant autant auto-centré sur eux même avec aussi peu d'ouverture d'esprit envers les personnes étrangères à l'Art et voulant se renseigner sur l'école et les domaines d'activités. J'espère de tout cœur que les étudiants ne deviennent pas comme ça en sortie.

Jamais une école n'a été aussi loin de tout et pourtant aussi proche de l'enfer

Directrice très désagréable qui m'a denigrée de tout le long de mon oral et qui m'a laissée comprendre que j'avais rien à faire ici. Même payée je serai pas venue là-bas tellement ils sont nuls. Ils sont pas drôles et giga prétentieux , et tfaçon jsuis prise aux Beaux-Arts d'Orléans qui est mille fois mieux et le plafond s'écroule pas là-bas au moins. J'ai mis une étoile pour les pattes gratos le midi.

Mon expérience aux Beaux-Arts de Bourges date d'il y a quelques années maintenant. Il m'a fallu du temps pour décider si je devais parler ou non. C'est une bonne école qui offre une bonne éducation et un espace de travail très agréable, cependant, j'ai été l'un des nombreux étudiants à souffrir du manque de frontières entre professeur et élève, de deux manières : mon travail était alors principalement centré sur la céramique, jusqu'à ce que mon professeur de céramique, Laurent, me dise qu'il est tombé amoureux de moi et que lorsque j'ai refusé ses avances, il m'a complètement ignoré et a donc compromis mon utilisation des installations et mon travail dans ce milieu. Suite à cet incident, j'avais fait part de quelques inquiétudes concernant ma santé à ma directrice du département d'alors, l'artiste Ingrid Luche, à laquelle elle m'a répondu : « si tu n'étais vraiment pas bien, tu serais à l'hôpital. Je ne peux pas faire d'exception pour vous. J'ai promis de travailler très dur, et comme j'ai fait de mon mieux, est arrivé le jour de la présentation. Ce jour-là, j'étais très contente du travail que j'avais fait et de la présentation, mais lors du feedback, Ingrid Luche s'est mise à crier, ce qui est tout à fait inapproprié, sa voix prenant tout l'espace de l'atelier et a dit, je cite que mes céramiques n'étaient que des morceaux de terre et que je n'y avais mis aucun travail, et s'est mise en location en criant du fond de la gorge des atrocités qui étaient à la fois insultantes pour moi et pour mon travail. Laurent, le professeur de céramique, n'a pas pris ma défense, je suppose puisque je l'avais repoussé, amoureusement. Bien sûr, je n'ai pas réussi l'année, mais en plus, j'ai eu des notes très basses, basées non pas sur la quantité de travail, mais sur les opinions, semble-t-il, des professeurs. Cela m'est arrivé ainsi qu'à un autre étudiant, pour autant que je sache. J'avais l'impression que nous ne pouvions pas exprimer nos inquiétudes au directeur et il m'a fallu encore 5 ans pour pouvoir retourner à l'école. Je pense qu'il devrait y avoir des limites et des protocoles fermes établis en termes de relations enseignant/élève, ainsi que sur la manière dont un enseignant est autorisé à donner son feedback aux élèves. Les commentaires tels que « votre travail est horrible », etc. ne sont ni constructifs ni éducatifs, et crier de cette manière ne devrait pas être autorisé. J'espère qu'il y aura des actions à la suite de cela.

Beaux bâtiments. C'est très intéressant de faire les portes ouvertes.