Gérard CHEMLA Avocat pénaliste

Un grand homme dune grande prestance à l'écoute de son client défend Cômme il se doit ses plaidoiries sont au top .un homme qui connaît son métier il se met dans l'affaire et la connaît sur le bout des doigts un avocat que je recommande à 1000 pour cent Un grand merci Maitre CHEMLA

Je recommande vivement Maitre Chemla. Sa rigueur et sa maîtrise des procédures m'ont vraiment impressionné. Un excellent avocat en qui on peut avoir toute confiance.

Pas de blabla… Professionnel et compétent💯%. Merci infiniment et profondément Maître ainsi qu’à vos associés et vos collaborateurs. Une victime, Nice 14 juillet 2016…

Se bat avec énergie et talent pour défendre vos intérêts. Merci Maître Chemla.

Déçue financièrement (sauf Me Chalon) J'ai perdu ma SCI. Victime d'acharnement physique, psychologique et matériel de la part de la partie adverse. À ce jour, je n'ai plus rien. Absolument rien. Alors que mon patrimoine dûment gagné était conséquent. Aucune empathie ni considération pour ma vie et ma santé broyée. Si vous pouviez, Maître Chemla, éviter de supprimer mon avis sincère et éclairé, je vous en saurais gré.

Excellent avocat et aujourd'hui j'ai encore besoin de vous pour des violences conjugales contactez moi svp

C’est un très grand Avocat Et grand défenseur des droits des opprimés Je l’es suivie dans divers affaires et il s’en sort plutôt très bien. Je ne le connais pas et j’espère ne jamais le connaître.

Excellent avocat pénaliste que je recommande fermement pour son grand professionnalisme et son humanité Très proche de ses clients Merci Maître pour ce que vous m’avez apporté

Plus qu'un conseil un homme d'honneur

Je viens de vous écouter sur les GG... Je vous souhaite beaucoup de courage pour le grand procès du 13 novembre à venir

Le droit des victimes est complexe et s'appuyer sur des conseils expérimentés en la matière est clé pour faire reconnaître au mieux des préjudices. Nous avons pu apprécier l'expertise du Cabinet de Maître Chemla, tant sur le plan pénal (condamnations justes suite à la collision d'un TER avec un poids lourd) que sur le plan civil (participation active à la reconnaissance notamment de préjudices spécifiques à ce type d'accidents). Plusieurs victimes de notre accident n'ont malheureusement pas eu la chance de bénéficier des compétences de l'équipe de Me Chemla et ont vu leur dossier débouté ou largement sous-évalué. Un cabinet à contacter sans réserve.

Personnel très à l'écoute et de confiance

M.CHEMLA et M.BASQUIN m'ont soutenu lors de mes démarches. Au delà d'un grand professionnalisme, l'expertise technique et le soutien sont sans failles. Un grand merci et à recommander les yeux fermés.

Bonjour Maître Ravi que vous exerciez toujours. Bon courage et soyez assuré du soutien de nombreuses personnes ! Y compris celles qui ne vous connaissent que médiatiquement comme c'est mon cas.

Passez votre chemin, aucune considération, aucun respect malgré l atrocité que j ai vécu en tant que victime d attentat. La fenvac les recommande, je n aurais pas dû leur faire confiance. Encore une épreuve de plus....

Maître Chemla a été mon conseil de 2016 à 2018. Écoute, disponibilité, patience m' ont permis de traverser une période très difficile dont le résultat va bien au delà des 2 affaires réglées, non sans difficultés certaines, à mon avantage.

Très bon avocat. Si on peut mettre médicalement à mort sur décision de justice quelqu'un qui ne l'a pas expressément demandé (sauf paraît-il à sa femme souhaitant se remarier et aux amis et proches de sa femme), on se doute que pour quelqu'un qui le demandera expressément tout va devenir plus simple. Deuxième étape : tout le monde est invité à remplir ses directives anticipées. Ce qu'ils ont fait de cet handicapé M. Vincent Lambert considéré comme un légume en fin de vie puis mis à mort est une honte absolue ! Avant que sa femme le fasse transférer en soins palliatifs, il recevait de la kiné, de la nourriture et de l'eau par sonde sans autre traitement, ce qui chez une personne non en fin de vie ne sont pas considérés comme de l’acharnement thérapeutique. C'est pourtant ce qu'a retenu le tribunal ! Bien qu'infirmier il n'avait pas désigné de personne de confiance (son épouse a été désignée tutrice en 2016, elle est restée 1 an avec lui et est depuis son accident en concubinage en Belgique - où elle touche son arrêt maladie français et les droits de son livre). Il n'a pas non plus laissé de directives anticipées - comme les infirmiers y sont encouragés depuis 2005. Mais on a préféré croire une femme qui voulait pouvoir se remarier, des cagnottes ont-même été lancées - et on a humilié celle qui lui avait donné la vie et qui ne voulait pas voir son enfant être exécuté. En 2013, un premier arrêt des traitements en catimini avait duré 31 jours jusqu'à ce qu'un membre de la famille s'en rende compte et les relance par voie de justice. Plus de 30 jours sans eau ni nourriture, si ce n'est pas vouloir vivre ! Alors cette fois, il n'y a eu aucune hydratation même minime, V. Lambert est mort naturellement, nous dit-on. Oui, et de façon inhumaine car il est mort de faim et de soif. Ici le combat du nihilisme contre le droit d'exister et on a vu qui vient de gagner. La coïncidence entre la médicalisation expressément létale demandée par le CESE en 2018 et la demande d'arrêt des soins du Dr Sanchez est d'ailleurs étonnante. Derrière ce conflit d'intérêt évident, le lobby de l'euthanasie.

Me CHEMLA s'est réjoui de la décision d'arrêt des traitement de Vincent Lambert. Je comprends qu'en tant qu'avocat il se réjouisse de gagner mais comment se réjouir d'une décision aussi pénible ? Quelques remarques lues sur le Quotidien du médecin : - À fond pour les directives anticipées mais depuis que mon époux est décédé d’un cancer il y a quelques semaines je mène une autre réflexion. Car les deux derniers jours, souffrant d’insiff Respiratoire aigüe, il voulait être réanimé mais L’équipe médicale a gardé en tête qu’il souhaitait être sedaté. De ce fait, il n’a pas eu la chance de savoir si la réanimation aurait eu un effet positif, Cela n’a pas été tenté et c’est difficile . On vit encore des fins de vie intolérables. On meurt encore dans des conditions intolérables. #Un Médecin ou interne - Si tant de gens voulaient vraiment mourir dans la dignité les maisons de retraite ne seraient pas à ce point remplies. La qualité de vie y est déplorable à entendre les personnes qui y vivent. Je n'en vois pas tant qui demandent à mourir et encore moins qui passent à l'acte. Elles ont encore le moyen de le faire alors qu'elles sont en fin de vie. Peut etre qu'on y tient à notre bout de vie... C'est bien joli de dire moi je ne veux pas finir comme un légume mais il y a peu de candidats au suicide. Les dealers et les produits toxiques pour se supprimer en douceur ne sont pas difficiles à trouver. Une petite hypothermie et un coup de gnole et c'est bon. Alors pourquoi personne ne le fait ? Car en bonne santé on n'a pas la même vision que quand on n'a plus la santé : on tient quand même à sa vie même de très très mauvaise qualité. On ne peut pas savoir ce qu'on aura dans la tête plus tard. Signer des directives c'est se priver d'un changement d'avis. Les patients suicidaires qui me disent je vous préviens je vais passer à l'acte, j'ai envie de leur dire personne ne vous retient sinon vous même. #Catherine M. kinésithérapeute - Hormis qu'il n'y a aps d'obstination déraisonable à nourir une personne par sonde lorsqu'elle n'est pas en fin de vie. C'est pourquoi nous devons tous écrire ces directives anticipées, encore non opposables à ce jour. Par précaution j'ai ajouté, au dessous de celles ci, la mention : si mes directives anticipées ci-dessus (je mentionne que je ne veux ni euthanasie, ni sédation terminale) , je demande à ma personne de confiance, X, de porter plainte pour meurtre. # Tara - Pharmacien