Hôpital de Jour du Parc - Association Rénovation Service de santé mentale

Moua ça va merci au j et le s

Certes personnes n’est vraiment heureux d’y aller mais il faut reconnaître que pour reprendre du poil de la bête c’est bien utile ! Beaucoup de jeune s’en plaignent ce qui est compréhensible mais les équipes sont compétentes et l’endroit est bien étudié pour les personnes en besoin ! Le bâtiment est vraiment pourri mais les adultes font de leur mieux pour le rendre agréable ! C’est un endroit remplis d’histoire bizarres de personnalités explosives de bidules construits par les différents ateliers et de quelques bout de pain mais l’ambiance ne rappel pas celle d’un hôpital ! Avec de l’envie on peut facilement avancer et sans on peut facilement être épaulés ! Certes certaines expériences avec d’autres élèves on pu être dures et j’en suis désolée Mais cette endroit vous donne une chance! En espérant que votre expérience là bas soit agréable ! BAM DROP THE MIC

Texte partie 1: Je suis Pierre delcroix pour ceux qui me reconnaissent, ancien patient des lieux. L'hôpital de jour m'a était recommandé après ma deuxième hospitalisation à abadie, et sincèrement c'était un peu pour moi mon dernier espoir en terme d'aide extérieur. J'arrive le premier jour, rien de bien différent niveau accueil. Je découvre par ailleurs qu'il y a des cours, des activités et des sorties. (très peu de sorties d'ailleurs car covid). Le ressenti de moi et de beaucoup d'autres patients sont que les cours sont trop peu utile, voir bâclés, certains prof ne sont là que pour lire des journaux ou parler de choses qui n'ont aucun liens avec le cours, et d'autres professeur déterminé à rendre le cours  intéressant et ludique. Courage à eux. Pour ce qui est des activités, globalement assez inintéressante, Pas du tout adapté en fonction des patients et inutile pour la majorité. Pourtant on vous insistera lourdement sur son importance qui ne l'est pas. Les sorties proposés sont bien pour certaines. Pour ce qui est des éducateurs, il faut être franc pour la moitié d'entre eux on se demande si ils aiment leurs travail ou juste le contacte humain. Regarder les mouches voler et le journal... Bon ! Passons pour ça. Par contre faire un metier pour aider des jeunes en difficulté et ne pas du tout être compréhensif ou emphatique pour certains envers les patients ce n'est pas compatible. Pour le 1/4 leurs méthodes archaïque ne sont plus utile en grande partie pour la mentalité des nouvelles générations. Changez de méthodes quand ça ne fonctionne pas. Quand vous avez un mur devant vous, vous ne foncez pas droit dessus, vous le contournez, c'est pareil. Et pour le dernier quart, ceux qui sont vraiment les seuls à être compréhensif et à l'écoute, doivent se sentir bien seul dans leurs corps de métier. Pour ce qui est de l'interdiction que les mineurs fument je peux comprendre pour les parents , mais sincèrement, ils fumerons dehors, en se cachant est ça n'apporte rien mais vraiment rien excepté de donner un sentiment aux jeunes de colère et d'incompréhension, et de leurs enlever un de leurs rare plaisir. Mais même avec cette interdiction ça fume quand même, mais discrètement. Hypocrisie. Passons à l'établissement, qui est compliqué pour ce garer quand on habite pas à Bordeaux. Ensuite rien n'est affiché pour savoir où allez. Je vous rappel que les parents et les patients sont tous deux en mauvaise postures psychologique alors facilitons leurs les choses s'il-vous-plaît ça ne coûte rien une pancarte. Ensuite bâtiment typique du coin ok. L'intérieur pas en très bon état mais ce n'est qu'un détails. Par contre très étroits et en hauteur, donc il faut prendre des escaliers à gogo très étroits, et quand on est bourré de médocs ce n'est pas des plus facile et reposant. Ensuite rien n'est indiqué pour qu'on se repère, dix milles portes et couloirs, des salles de cours également beaucoup trop étroites. Si il y a plus de 13 élèves par classe parfois un patient ne peux ne plus avoir de bureau. L'état du matériel bon ba rien d'étonnant c'est à chier, typiquement français. Ensuite pour ce qui est de la nourriture, et c'est unanime, juste dégueulasse. Je n'y prenais aucun plaisir. Et franchement les collèges et lycée publique font beaucoup mieux. Pour les repas des patients vegan, vege, ou autres, aucun efforts n'est fait pour eux. S'il ne veulent pas manger de viande, rien n'est prévu pour eux, donc ils sont obliger de se priver de beaucoup de nourriture, inadmissible. C'est pas un collège mais un lieu d'aide, un peu de logique s'il vous plaît encore une fois. Pour la pièce avec les ventes de boisson c'est sympa mais si c'était ouvert tous les jours et pas une fois tout les 100 ans ça serais appréciable. Ça égayera leurs journées. Texte Partie 1

établissement pas fait pour tout le monde, bonne initiative pour permettre aux jeunes inaptes à la vie scolaire classique de suivre des cours, bien que les profs soit loin d’être bon, un prof de maths (à la retraite mtn) non pédagogue, les élèves en ont peur et le motif « j’ai maths avec herve » justifie de ne pas aller en cours et les éducateurs en étaient conscient et pourtant il a continuer à exercer (un minimum de bon sens ils ont mit une autre prof pour les terminales, mais les première spé maths peuvent souffrir en silence (je suis pas aller en maths de l’année dcp)) si vous ne fumez pas et bien c’est le meilleur endroit pour commencer, mineurs ou pas peut importe, mettrez des jeunes en manques d’attention dans un même endroit et l’idée de s’automutiler traversa l’esprit des autres, comme la mode de changer de genre comme de culotte, les éducateur pas du tout formés ?? Faire des remarques sur les repas à des ados souffrant de trouble alimentaire ?? Les éducateurs disent tous savoir de ce qu’ils se passe entre nous et pourtant il y a des agressions sexuelles qui passent sous les radars, et quand ça sort la victime est viré ?? Quand je suis partie de mon propre chef à ma majorité, ils ont refusés de me rendre mes créations faite en atelier créatif (seul truc que j’aimais bien) parce que c’était « contradictoire » avec le fais que je décide de partir, alors qu’ils les rendent à tout le monde. Très contente d’être partie, psychiatre incompétent (comme partout), les infirmiers sont souvent meilleurs (Sandrine gros cœur) et plus à l’écoute, sinon c’est traitement au max, sans parler de l’  « appartement thérapeutique », pas fais pour tout le monde et pourtant obligatoire (quand t’es mineur), bref c’est pas adaptés à tous, sachez que si votre enfant y rentre ils y aura de forte chance qu’il ressorte avec plus de pb ou aucun changement et une clope au bec, il est très facile de louper les cours, dormir ou « je me sens pas bien » suffise, en route vers la déscolarisation !

Ce centre est relativement correct, pour certains c'est une bonne solution afin de réussir sa scolarité quand on ne peut pas étudier dans un vrai collège et principalement pour le lycée. Malheureusement, il y a énormément de jeunes qui fument trop et surtout les mineurs (-18 ans). Le problème n'est pas moindre quand on perçoit le comportement inapproprié de certaines éducatrices envers des ados innocents (dont j'en étais concerné). Par exemple : - Ne pas s'asseoir sur la petite table carrée du réfectoire alors qu'elles sont mal-placées pour nous interdire de faire ça puisqu'elles se permettent de s'y asseoir... - Ou encore de nous faire taire alors qu'il n'y a aucun dérangement pour ma part (et qu'elles continuent à blablater entre elles en se conduisant comme de vraies princesses). Bref, à part ces quelques reproches. C'est un engagement et un compromis qu'on fait à son médecin et à l'équipe soignante. Bonne chance aux futurs patients du Parc.

L'hôpital de jour m'a permis de continuer ma scolarité et de poursuivre dans le supérieur après être déscolarisée. Un emploi du temps scolaire adapté et des professeurs bienveillants et à l'écoute pour des adolescents en difficultés. L'établissement propose de nombreux ateliers thérapeutiques, des lieux pour s'exprimer et à apprendre à communiquer. Un établissement pour se soigner et se construire avec un cadre rassurant et un personnel soignant soucieux du bien être des adolescents et qui vous accompagne dans chacun de vos projets. Je recommande fortement.

Un établissement qui effectivement comporte de nombreux défauts, mais qui permet aux adolescents en souffrances psychiques de poursuivre une scolarité et d'obtenir le BAC. Les différentes approches thérapeuthiques mises en place au sein de la structure seraient à revoir et ne comptez pas exclusivement sur ça pour garantir un processus de guérison, mais cette structure permet d'être dans un cadre rassurant, d'être entouré de professionnels plus ou moins à l'écoute et surtout de jeunes dans la même situation que vous. Cet hôpital est une béquille dont il faut se servir, piochez les bonnes choses qu'il y a à prendre car cet établissement en offre quand même un certain nombre. Personnellement, cette structure m'a permi de rebondir à une période de ma vie qui était très compliquée, et j'ai ainsi pu continuer mes études et obtenir un BAC + 5. Vous avez la chance que des environnements pareils existent, il faut la saisir.

À part gaver de médicaments les jeunes qui sont trop heureux c’est tout ce qu’ils font. Fuyez cet endroit de détraqué

Très mauvais moment de ma vie (2012-15). Professeurs non pédagogues, médecin exécrable et insultant, harcèlement de la part de patients, hospitalisations incessantes à Charles Perrens pendant et après la période de prise en charge, prescription de doses excessives de médicaments, projets inadaptés pour la suite organisés dans mon dos en m'obligeant à les poursuivre même si ce n'est pas comme ça que c'est censé fonctionner... Le médecin était bien souvent à la limite de l'acharnement thérapeutique et l'a totalement été en organisant un rendez-vous clandestin plusieurs mois après ma fin de prise en charge. À déconseiller fortement, un vrai poison pour la scolarité, des ateliers obligatoires sans intérêt... Comment qualifier un professeur de mathématiques qui ne fait pas de leçons, passe presque tout le cours à faire des mots croisés dans le journal avec les élèves et se plaindre tout le temps d'avoir froid ou d'être enrhumé, posant juste quelques exercices au tableau sans faire de leçons alors qu'on est en seconde ?! En cours de physique-chimie aucune manipulation (TP). En cas d'allemand LV2, classe commune tous niveaux pour les rares élèves qui en font. Remplacement possible des professeurs (dont le vrai métier dans l'établissement est éducateur scolaire) par d'autres qui cumulent les matières voire par un membre du personnel éducatif/infirmier. Aucun sérieux. Pour éviter de perdre votre temps et votre avenir, si vous allez mal, tâchez d'éviter ce lieu ! Si vraiment vous tentez l'expérience, prenez des cours de soutien à domicile le week-end lors des maigres vacances scolaires (qui n'aident pas du tout à se reposer au cours d'une longue année scolaire de 11 mois...) Les médecins proposent des traitements médicamenteux souvent très lourds et/ou sédatifs, très mauvais choix pour des jeunes qui sont censés apprendre et passer des examens. Les ateliers sont souvent priorisés par rapport aux cours , c'est dire si on est de loin bien plus dans un hôpital que dans un collège-lycée !!!! L'usage du tabac a priori interdit aux mineurs est mal encadré et cette différence apparaît comme discriminatoire auprès des patients. L' accueil du matin (sorte d'appel à l'heure d'arrivée) conduit parfois à des coups de fil pour absences aux familles à cause de certains professeurs qui veulent commencer les cours d'emblée et veulent donc qu'on manque cet accueil (ce qui ne convient pas au personnel éducatif). En classe bavardage autorisé, difficile aussi de se concentrer ! Les lieux sont très étroits et peu pratiques (une cage d'escalier a dû être sécurisée après une tentative de suicide, les toilettes sont mal réparties et en nombre très insuffisant, les salles de classe sont exiguës, si un niveau comporte 13 élèves, le dernier peut se voir se de table ! Lors de RDV entre le médecin et la famille, ou lors prise de contact en vue d'une éventuelle admission, il faut sonner et attendre qu'on nous ouvre, aucune salle d'attente digne de ce nom mais de simples banquettes dans le couloir sombre de l'entrée, pas de toilettes pour ces visiteurs, et impossibilité de ressortir sans demander car la porte se verrouille dès qu'on la passe, vu qu'il n'y a pas de séparation avec le lieu de vie des patients ! Bilan psychologique obligatoire pour tout candidat. C'est un lieu de soin en carton, pas prometteur, surtout pas scolairement ! Ambitieux de grandes études s'abstenir, surtout les scientifiques !! Les éducateurs, professeurs et psychologues sont néanmoins plutôt accueillants et chaleureux dans l'ensemble, contrairement à certains psychiatres. Les conflits entre jeunes sont omniprésents et incompris. Est sanctionné/disputé celui qui fait le plus parler de lui, peu importe son rôle dans l'histoire, et des sanctions disproportionnées peuvent s'appliquer. Favoritisme et contre-favoritisme sont courants. Harcèlement par les soignants en cas de refus de se rendre dans l'établissement. A bon entendeur. Thomas, l'un de ceux que ce lieu a le plus tiré vers le bas en allant bien plus mal au départ définitif qu'à l'admission.

Pierre. Texte partie 2 : Ensuite manque de chaises dans la salle commune, problématique quand il pleut. Pour les personnes trans, non binaire etc... Aucun respect. On s'en fiche de leurs envies et besoin, et forcément ça créé des engueulades. La personne souffre déjà, pas la peine de lui rappeler son passé (donc son prénom de naissance). De la COMPRÉHENSION ENCORE. Pour ce qui est des psychiatre, bon globalement c'est pas le point fort. Certains sont bons et d'autres beaucoup moins. Pour le miens, très compréhensif et à l'écoute après pour d'autres moins. Même si il l'était pour moi, il Changeait radicalement sont comportements avec mes parents qui était juste inquiet, curieux et dans le doute et qui n'attendais que des réponses. Ils Ne se font prendre que de haut par les psychiatre très hautains. Sans doute ont ils oublié que les parents sont aussi des humains affectés par la santé de leurs enfants. Donc soyez compréhensif aussi avec eux. Pour ce qui est de l'obligation de dormir une fois par semaine dans un appartement, quand on est mineur c'est juste infernal. Impossibilité de sortir de l'appartement qui est petit. A partir de 22h je crois, obligation d'aller dans sa chambre, donc adieux le plaisir des rares bon films à la télé, et des Joies du portable car oui on leurs retire. Juste inconcevable. Donc merci pour les ruminages qui viennent encore plus tôt. Ensuite si vous êtes majeur c'est libre, bien sûr avec des horaires, mais l'interdiction par certaines éducatrices de manger par exemple des céréales le matin parce qu'elle estime que c'est trop riche. Et bien c'est juste frustrant. Et du coup on mange en cachette. Encore une fois inutile. Parlons des chambres sans coussin, avec un matelas très petit et très fin, donc le lendemain je vous raconte pas le mal au dos et jambe, bras. Très appréciable. Par contre étonnement, les patients, pour une grande partie sont moins ouverts d'esprit et qu'ils avaient de esprits de clans et de jugement facile. Difficile pour un nouveau de s'intégrer rapidement. Des moqueries et d'autres actes et paroles irrespectueuse font contraste avec l'idée du lieu. Quel dommage. Texte partie 2 finis.

Lors d’un cursus scolaire compliqué, mon médecin m’a recommandé ce lieu Au bout de quinze jours de soins à l’hôpital de jour du parc, j'ai pu commencer à vivre en étant moi même, sans crainte d'être jugé d'une quelconque manière. C'est probablement dû aux éducateurs plutôt compétents ainsi qu’aux jeunes qui ont vécu, comme moi, des moments difficiles. Les professeurs sont compréhensifs et malgré un total d’heures limité de cours hebdomadaires, ils permettent aux jeunes un bon apprentissage des connaissances L’ensemble des soins et la nourriture sont gratuits, le cadre est chaleureux et certains ateliers peuvent s’avérer intéressants La mise en place de soirées thérapeutiques dans des appartements dédiés permet aux jeunes de découvrir des activités et de sortir de leur cadre de vie habituel. Cela étant dit, quelques points seraient à améliorer. Je pense notamment au suivi individuel des adolescents par les médecins psychiatres En effet, je ne suis pas médecin et je peux me tromper, mais en préconisant parfois des traitements médicamenteux lourds au lieu de chercher le problème de fond, les jeunes se sentent incompris en pensant que leur médecin n’est pas suffisamment impliqué De plus, je recommanderai aux médecins de prendre en compte le trouble déficitaire de l’attention (TDAH) dans le suivi car il peut être à l’origine du mal-être, ou moins y participer. Même si tout n'est pas parfait, je recommande donc l’hôpital de jour du parc En ce qui me concerne, c’était donc un passage de ma vie inoubliable et qui m’a permis de rebondir pour un futur plus certain Mon avis est évidemment subjectif et je peux comprendre que d’autres jeunes et/ou parents ont pu percevoir différemment ce cadre de soins PS : Gros point positif à la table de ping-pong entre midi et deux Julien

Établissement atypique. Méthodes spéciales avec des ateliers sans grands intérêts pour certains patients et peu diversifiés ou pas adaptés à tous. Quant aux cours nous verrons bien en fonction de l'évolution thérapeutique ou pas de notre adolescent. Mais des possibilités et des solutions sont proposées. Par contre les jeunes sont plus écoutés et compris que leurs parents qui se sentent insinueusement presque responsables de l'état de leur enfant. Sinon bon accueil.

Établissement certes peu accueillant mais étant la seule alternative pour aider les adolescents en déroute. L’équipe pluridisciplinaire est compétente, et fait toujours les bons choix même si ils sont parfois excessifs et durent a accepté. L'environnement est souvent froid et peu accueillant, cependant l'équipe pluridisciplinaire ainsi que les professeurs y apportent un peu de chaleur par leur présence. En conclusion, endroit fortement conseillé pour donner une seconde chance à votre enfant et lui permettre de détenir le BAC, ainsi qu'un avenir plus certain.

Personnel accueillant et professionnel

L'établissement nous a été conseillé par un psychiatre que nous avons consulté suite à la dépression de notre fils de 16 ans. Il nous a présenté la structure comme un endroit famillial, propice au bien être et à l'épanouissement des adolescents en difficulté. Malheureusement, les éducateurs ne sont aucunement concernés par les jeunes qui sont livrés à eux-mêmes dans l'établissement entre les heures de cours trop rares et les ateliers sans grand intérêt. Ce lieu devient propice aux querelles et aux intrigues entre adolescents, ainsi qu'au tabac et à la drogue dans le semblant de cour intégré à la structure. Notre fils, étranger à cet univers, a été plongé encore un peu plus dans sa dépression à cause de l'indifférence et la méchanceté des autres jeunes. Comme si ca ne suffisait pas, les soignants nous ont harcelé au téléphone afin de le faire revenir dans la structure, tout en nous faisant culpabiliser ! En bref, un endroit à fuir absolument pour son équipe soignante insensible et incompétente. On notera quand même la sympathie et la sensibilité de certains enseignants, qui semblent les seuls concernés un tant soit peu par les difficultés des adolescents.