IME La Corniche Association pour la jeunesse

La plupart de ces jeunes de cette établissement en fini en hôpital psychiatrique

Tres bon établissement je remercie beaucoup Yousra Benamour qui m'a aidé dans mon suivi psychologique dans mes avis mais des complications harcèlement envers itep ime envers une jeune fille qui a rien demandé harcèlement réseaux sociaux elle demande rien personne et elle tien le coup je lui donne tout mon soutien et harcèlement envers moi même d un ancien collège je ne remercie pas du tout le groupe Athena mais je remercie simon kodok qui a su nous aiguiller dans les projets professionnels découverte de l environnement et professionnel un très bon éducateur spécialisé mais dans complications suite l amendement creton et suite au décès de ma mère et suite au mes antentes avec Latifa rikiki je remercie arrogante et qui parle derrière le dos des gens je remercie Patricia Ramel ainsi stella becquet ainsi Noémie herero mais je ne remercie pas du tout Julia simmonds qui a mis en danger la vie d autrui ime qui te renvoie directement en hôpital psychiatrique suite un comportement intélorable envers un agent SNCF mais ça les regarde pas mais il veulent tout savoir il sont doué dans la manipulation je ne remercie pas du tout Olivier andreu vous serai mieux aidé que lycée Joliot curie mais faite attention a la manipulation

Dès le premier contact, cet établissement se révèle être un véritable créateur d'antagonisme. L'accueil y est désagréable et teinté de mépris. Le personnel, au lieu de se consacrer à leur travail, préfère échanger des plaisanteries entre eux, affichant une indifférence troublante envers les jeunes en difficulté. Cette atmosphère antagoniste, palpable dès l'entrée, montre une institution déconnectée de ses responsabilités. Le manque de professionnalisme y est criant, et chaque interaction renforce le sentiment d'être pris dans un engrenage institutionnel hostile. La direction de cet établissement est l'incarnation même de cet antagonisme. Sourde à toute critique constructive, elle s'enferme dans ses idées dépassées, rejetant avec arrogance toute proposition d'amélioration. Cette rigidité extrême crée un climat d'oppression où toute tentative de dialogue est perçue comme une agression. Ce refus obstiné de remise en question transforme l'établissement en un lieu où règne la défiance, et où le bien-être des jeunes semble avoir été relégué au second plan. L'antagonisme généré par cette direction hostile se répercute inévitablement sur les éducateurs, dont le comportement est à l'image de l'atmosphère déplorable qui règne dans l'établissement. Les éducateurs, loin de contrebalancer cet environnement toxique, exacerbent ce climat d'antagonisme. Leur comportement est insupportable, marqué par une mauvaise humeur constante qu'ils déversent sans scrupule sur les enfants. L'absence de professionnalisme est flagrante, et les jeunes, déjà en difficulté, sont contraints de subir une ambiance oppressante, où l'indifférence et le mépris sont devenus la norme. Le manque de respect et d'empathie, conjugué à une attitude hautaine, contribue à créer une atmosphère invivable. L'état des lieux reflète parfaitement cette négligence institutionnelle. L'insalubrité est omniprésente, avec des odeurs nauséabondes qui envahissent les espaces communs. Le mobilier, dépassé et délabré, témoigne d'un manque total d'entretien. Une laideur oppressante, sont lugubres et loin d'offrir un cadre apaisant. Ce manque de considération pour le confort des jeunes est scandaleux, renforçant encore l'antagonisme ressenti dès les premiers instants. Les incidents graves qui se produisent dans cet établissement ne sont pas seulement choquants, ils dépassent l'entendement. Ils mettent en lumière une absence totale de gestion, une incompétence qui frôle la négligence criminelle. Lors d'un incident récent, deux éducatrices, en tentant de porter un enfant en fauteuil roulant, l'ont brutalement renversé. Cet acte, qui a causé une douleur physique intense à l'enfant, a été suivi de moqueries cruelles de la part des autres enfants, aggravant ainsi sa détresse. L'enfant, profondément blessé et humilié, a réagi en tirant les cheveux d'une éducatrice et en la giflant. Ce genre de situation n'est pas seulement inexcusable, il est révélateur d'une absence complète de formation, de sensibilité et de compétence chez le personnel. Ce qui s'est produit est bien plus qu'une erreur : c'est un acte de maltraitance institutionnelle déguisé en maladresse. Un autre exemple atroce de l'inhumanité qui règne ici concerne un psychologue, censé être un pilier de soutien pour les jeunes. Ce dernier a menacé un enfant de lui mettre une droite, autrement dit de le frapper. Non content de cette violence verbale inqualifiable, il a également exercé une pression physique sur l'enfant, le contraignant à se coller contre un mur. Ces comportements abjects et totalement inacceptables montrent à quel point cet établissement est devenu un lieu de terreur plutôt que de soutien. Il est difficile d'imaginer un endroit plus inadapté pour des jeunes déjà en difficulté. Sofiane LAMOUROUX

A évité impérativement si ta un gosse ne le met pas là il va empirer et devenir un malade mental (expérience vécu) Je vous conseille de le/la mettre ailleurs surtout ya des educ fou et aussi bouffe dégueu sauf le mercredi midi

Franchement faite attention il y a eu des vole dans cette établissement

Des professionnels compétents qui font au mieux et le maximum avec une capacité d écoute et une ouverture d esprit.... bravo 👍.une leçon de savoir être et faire

École super l’es année 90 j’ai été la bas et sa ma boucoup edai et évolution dans la vie et les enseignants qui avait, ils étaient vraiment super et beaucoup de souvenirs

Itep la corniche très bien pour les enfants en grande difficulté

Incompétents avec une bonne équipe de bras cassés La honte du social

C'est une école spécialisée pour les enfants en situation de handicap comme mon fils