Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur le Kinésithérapeute Mattioni Florian qui ce trouve au 6,A Rue du Stade, 67170 Wingersheim les Quatre Bans (67)..
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J'ai consulté Florian a 2 reprises ces dernieres années pour differentes pathologies. Si vous cherchez un kiné investi, qui cherche a comprendre vos douleurs et comment les soigner alors c'est chez lui.
Sans évoquer un kiné en particulier, juste un ressenti en général : Vous franchissez le seuil et, hop, adieu chaussures (après avoir fréquenté bon nombre de cabinets de rééducation, je n'avais jamais vu ça, surtout s'il s'agit de la rééducation d'un membre supérieur ...) ! On y troque donc ses chaussures contre une promenade en chaussettes dans un espace multifonction où s'entassent paperasse administrative et matériel de rééducation, dans cet espace hybride où le bureau d'accueil, visiblement adepte du tout à portée de main... même le bazar, côtoie allègrement les machines de torture... pardon, de rééducation, fréquentées par des patients en mode autonomie surveillée. Ensuite, les cabines individuelles. On vous y tartine avec une onguent mystérieux ou on vous affuble de ventouses ou autres cataplasmes avant de vous laisser méditer seul sur l'efficacité du traitement. Une méditation parfois un peu longue, il faut bien le dire. L'impression que le chronomètre tourne plus vite que les améliorations physiques. Toutes ces séances entrecoupées d'appels téléphoniques puisqu'il n'y a pas de secrétariat. Quant au départ, on refait le chemin inverse, les chaussettes ayant brièvement exploré cet écosystème où l'ambition d'un grand centre se heurte à la réalité d'une surface modeste. En somme, un lieu où la fonctionnalité prime, avec une touche d'improvisation charmante. En guise de conclusion, cette curieuse obsession des chaussettes, présentée sous un voile d'hygiène dont la logique nous échappe quelque peu, apparaît finalement comme le symptôme d'une incapacité plus profonde à offrir un accueil véritablement centré sur le patient et sa pathologie. Exiger d'un patient souffrant du dos de se contorsionner pour retirer ses chaussures, ou d'une personne traitée pour une épaule de marcher en chaussettes, relève d'une vision standardisée et peu regardante des besoins individuels. C'est un peu comme si un médecin demandait à ses patients de se mettre en sous-vêtements dans le couloir pour gagner du temps : une mesure certes hygiénique d'un point de vue très particulier, mais totalement déconnectée du respect et du confort du patient. Ce détail, en apparence anodin, révèle un mode de fonctionnement où le rendement et la fluidité de l'organisation interne semblent primer sur la prise en compte des spécificités de chacun.