Memorial de la Retirada - exili republicà Monument

Très instructif sur l'époque franquiste.

Le monument se dresse au col des Bélitres Pyrénées, en bordure de la route côtière d'Espagne (Portbou) à Cerbère.

Ce modeste mémorial 🤡 à quelques mètres du col de Belitres (ou des Balistres) rappelle que environ 100000 républicains espagnols opposés au régime franquiste ont franchi la frontière en février 1939, donc en plein hiver, pour sauver leur vie. Il se trouve en territoire français, à quelques mètres du territoire espagnol. Il se compose de 4 doubles plaques de métal scellées sur une dalle de béton. Difficile de faire plus sobre. Il raconte les souffrances de cet exil. Pour plus d'informations concernant la Retirada (l'exil des républicains espagnols), la visite du magnifique musée de La Jonquera s'impose. Curieusement, on trouve à quelques dizaines de mètres, de l'autre côté de la chaussée et un peu en hauteur, un monument à la gloire des militaires nationalistes (franquistes) morts lors d' une bataille en février 1939.

Très impressionnant

Mémorial petit mais éloquent à la mémoire des réfugiés en France qui ont fui le franquisme. Pour nous, Italiens, c'est une histoire lointaine mais je dois admettre que les photos présentées ici m'ont vraiment touché. Endroit très suggestif en France juste à la frontière avec l'Espagne. Il est également possible d'y accéder des deux côtés via un chemin un peu sale et mal entretenu mais très simple (pas en chaussons).

Pour comprendre l’Histoire entre l’Espagne et la France Des terres d’accueil Il faut lire et s’imprégner ds un cadre exceptionnel

Un endroit intéressant, mais quelqu'un a volé le canon du char. L'arme est partie !

Se trouvent ici un mémorial sur l'exode causé par le Franquisme (Retirada, Retirade), ainsi qu'une magnifique vue sur Portbou ! Le mémorial est sobre mais résume très bien en quelques panneaux les tristes évènements vécus en 1939. Une époque où les Pyrénées-Orientales (Catalogne Nord) avaient plus de réfugiés que d'habitants... D'autres avis ont pris en photo les panneaux, mais étant simple d'accès je vous invite juste à vous y arrêter pour les lire !

Je veux avertir les conducteurs. Je suis sorti de ma voiture pour me promener. Je pensais avoir laissé mon téléphone dans la voiture et je me suis dépêché de rentrer. À mon retour, j'ai vu un propriétaire de moto qui roulait près de ma voiture. Il semblait vouloir briser ma fenêtre et voler quelque chose à l'intérieur, alors soyez prudent.

Poubelle,,,

Un mémorial se dresse, au col des Belitres, au bord de la route côtière qui conduit de l'Espagne (Portbou) vers Cerbère. Il est là pour témoigner de la retirada, l'exil des républicains espagnols en 1939. On décrit l'attente au poste frontière, dans le froid et la faim, pour que les autorités françaises se décident à accueillir ces réfugiés politiques démunis, ces femmes, ces enfants. Des photos témoignent. 264 000 exilés qui séjournèrent dans des camps. D'autres lieux de mémoire marquent cet évènement historique majeur pour les Pyrénées Orientales. Le plus visité est le Musée de l'exil à La Junquera.

Vivre la liberté

Très jolie Superbe vue

très bel endroit à visiter

Plus qu'un monument, un espace mémoire un peu négligé. En 1939, le passage de la frontière au col de Bélitres fut l'une des tristes scènes du chemin de l'exil. Juste là, les vestiges abandonnés de l'ancien poste frontière

Abandonné. Très gauche.

route frontalière spectaculaire qui longe la côte et vous permet de profiter de vues inoubliables

Un endroit coloré

Vues fantastiques sur la côte nord de la Costa Brava.

Bien

Lieu à retenir et qui fait réfléchir à ce qu'il ne faut pas répéter

Assez bien, le chemin est mal balisé et les abords mal entretenus.

Une vue fantastique sur Porbou et le nord de la Costa Brava

Ceux que vous voyez maintenant, brisés, battus, furieux, aplatis, mal rasés, non lavés, crasseux, sales, fatigués, mordants, en désordre, détruits, cependant, n'oubliez jamais, quoi qu'il arrive, qu'ils sont les meilleurs de l'Espagne, les seuls qui, en vérité, se sont soulevés, avec rien, avec leurs mains, contre le fascisme, contre les militaires, contre les puissants, pour la justice seule; chacun à sa manière, à sa manière. comme ils le pouvaient, sans se soucier de leur confort, de leur famille, de leur argent. Ces Espagnols brisés, vaincus, surpeuplés, blessés, endormis, à moitié morts, qui espèrent encore s'échapper, sont, ne l'oublions pas, les meilleurs du monde. Mais ce n'est pas la meilleure chose au monde. Max Aub

Lieu très intéressant pour se plonger dans l'histoire de la région

Il n'y a pas grand-chose à voir, juste le sommet de la colline

J'ai adoré ce monument dédié à la mémoire des morts de la guerre et aux souffrances des exilés. Le paysage est impressionnant. Un col, une frontière, indispensable pour voyager.