Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur le Hôpital psychiatrique MGEN Etablissement de soins médicaux et de réadaptation de La Verrière qui ce trouve au Av. de Montfort, 78320 La Verrière (78)..
Sur cette page dédiée, vous trouverez :
Vous avez eu une expérience avec le Hôpital psychiatrique ? N'hésitez pas à rédiger un avis si vous le souhaitez en bas de page pour aider d'autres visiteurs !
Veuillez completer le formulaire ci-dessous.
Après six mois, je prends enfin la parole. Ce que ma famille et moi avons vécu dans ce service de soins palliatifs m’a profondément traumatisée et m’empêche de faire mon deuil. Nous avons tout fait pour que la fin de vie de ma sœur, âgée de seulement 37 ans, se déroule dans les meilleures conditions possibles, avec notre présence quotidienne à ses côtés. Cependant, malgré un service qui se dit “souple”, il est évident que notre présence, combinée à l’âge jeune de ma sœur, a dérangé deux soignants en particulier, dont le comportement a été inacceptable. Je tiens à souligner qu’à côté de cela, nous avons rencontré des médecins et des soignants merveilleux, bienveillants et profondément humains, qui aiment leur métier et le font avec le cœur. Malheureusement, les actions de ces deux personnes ont entaché cette expérience. L’aide-soignante (Karine, sauf erreur) Cette personne, de forte corpulence (un détail important pour la suite), passait le plus clair de son temps avachie dans le petit salon, semblant totalement désinvestie de son travail. Le jour où elle est venue me chercher pour me prévenir que ma sœur était en train de partir, elle avançait si lentement, sans aucune précipitation, qu’il était déjà trop tard quand je suis arrivée. Ma sœur était partie seule. Un autre jour, cette aide-soignante m’a forcée à jeter deux paquets de glace que ma sœur adorait. J’avais simplement retiré les glaces de leur boîte pour gagner de la place dans le congélateur commun. Elle m’a observée de loin, puis, après que j’ai jeté les emballages, elle est intervenue en disant que je devais retirer les glaces car elles étaient “hors protocole”. Bien que les emballages soient encore dans la poubelle, elle m’a obligée à tout jeter sans aucune considération. L’infirmier de nuit (Roger, environ 60 ans) Cet infirmier entrait régulièrement dans la chambre de ma sœur sans frapper, ce qui montrait un manque de respect évident. Il passait ses nuits sur la terrasse, où il regardait des émissions sur son téléphone en haut-parleur, si fort qu’on pouvait l’entendre depuis l’autre bout du couloir. À chaque fois qu’on sortait de la chambre ou qu’on sollicitait son aide, il montrait clairement son agacement. Une nuit, ma sœur souhaitait prendre un goûter dans le petit salon vers 22h. Lorsque nous l’avons croisé dans le couloir, il nous a vivement réprimandées, bien que le médecin de service ait confirmé que ma sœur avait le droit de circuler librement. Cet épisode l’a tellement contrariée qu’elle a renoncé à son envie et a dû rester dans sa chambre, qui devenait oppressante après trois semaines d’hospitalisation. Un manque de respect inacceptable Je tiens à rappeler que les personnes en fin de vie ne devraient jamais être traitées comme si elles n’avaient plus droit au respect ou à l’humanité. Ce n’est pas parce qu’elles sont en train de mourir qu’elles doivent être déconsidérées ou négligées. En conclusion : Bien que certains soignants et médecins aient été exemplaires, ces deux personnes ont montré un comportement indigne et traumatisant dans un moment déjà très difficile pour nous. J’espère que leur attitude sera un jour remise en question et qu’ils comprendront la gravité de leurs actions. Je partage mon expérience pour alerter et sensibiliser les familles, afin qu’aucun autre patient ou proche ne vive ce que nous avons vécu.
Très bon service de gériatrie, hôpital entretenu, déménage fait, personnels médicales à l’écoute, patients changes, produits d’hygiènes régulier et fourni…
J’ai connu l’IMR en tant que patient mais j’ai aussi rendu visite à des amis qui y étaient hospitalisés. Fuyez cet établissement A l’ACA (Service d’Acueil Crise ado, une unité qu'on peut qualifier comme étant un service fermé/ sécurisé), il y a plusieurs suicides et fugues qui sont passé au sein du service, quel est donc le bénéfice rendu par ce service qui est présenté comme un endroit sécurisé vis à vis des risques suicidaires ? Il y a eu par ailleurs plusieurs diagnostics de « transexualité » (diagnostic archaïque et obsolète très transphobe) posé sur des patients fragiles, ce qui évidemment semble très incongru pour une structure « qui ne porte aucun jugement envers les patients ». Le mégenrage est monnaie courante dans le service, et il est intentionnel. Le PJA qui était relié au pôle qui comprenait l’ACA, a été fermé « administrativement ». Cet établissement privé impose des tarifications très élevées, certains patients ont dû être « amenés jusqu’au bout de leur possibilité », en gros ils ont relâché des patients progressivement, même si ces derniers n’étaient pas stables. L'ACA détruit ses propres patients ainsi que leurs entourage. L'hôpital public Charcot à Plaisir (psychiatrie sectorisée) est bien plus sécurisé en terme de prise en charge (même si ses locaux laissent à désirer), sachant que celui-ci accueille des patients extrêmement instables qui ont de très gros risques d’actes auto et hétéro-agressifs, mais les soignants sont bien plus vigilants et bienveillant que ceux de l’ACA. Cet endroit n’est pas sécurisé. Sachez qu’il y a eu un signalement concernant un soignant en particulier qui travaille à l’ACA pour des violences sexuelles.
ÉTABLISSEMENT TRÈS SÉRIEUX ET PERSONNEL TRÈS COMPÉTENT ET TRÈS PROCHE DES MALADES ET DE LA FAMILLE TRÈS BEL ACCOMPAGNEMENT.
Malnutrition des patients, qualité des aliments,plateaux incomplets.aucune empathie du personnel... Que dire....
Nous tenons à remercier sincèrement le service de soins palliatifs et particulièrement le Docteur Jacques WEBER, la psychologue ainsi que l'ensemble du personnel infirmier, agents hospitaliers et bénévoles. Je vous remercie infiniment de nous avoir accompagné jusqu'au bout. Merci.
Mon fils a fait une post cure dans ce lieu. En tant que parents nous avions donné plus que notre confiance au corps médical et social, nous leur avons laissé notre enfant. Après un mois passé là bas , il a été exclu du jour au lendemain (appel à 9h00 et sortie à 9h30) pour la raison a consommé de l'alcool sur le site et je cite il n'est pas prêt. En effet sans suivi thérapeutique, sans activité et en les laissant errer à journée entière, la faille est vite trouvée : une grille ouverte donnant un accès direct à l'intermarché...Je comprends mieux pourquoi les espaces verts sont jonchés de bouteilles vides et les trottoirs truffés de mégots de pétard. Il est sorti avec une ordonnance pour 8 jours aussi longue que mon bras et un bon courage. Merci au revoir et débrouillez-vous avec votre progéniture. Depuis sa sortie et après 5 appels à son psychiatre addicto qui devait je cite 'ne pas le laisser tomber toujours aucune nouvelle....Depuis nous payons un médecin et un psy et là les choses bougent. Mon entourage m'avait mis en garde contre cet établissement en me disant ils rentrent alcooliques et ressortent drogués et toujours alcooliques. Maintenant je confirme.