Quentin TEISSIER Notaire VALENCE vente immobilier succession donation divorce Notaire

Merci à maître Quentin Teissier ainsi qu’à la personne de l’accueil. En plus d’être professionnel et à l’écoute les personnes travaillant de ce cabinet sont très humaines et on fait preuve d’une humanité qui fait plaisir à vivre. Ils ont su trouver les mots pour un être qui m’est chère dans un contexte si douloureux. Je suis encore bouleversé. J’aimerais qu’il y est plus de personnes comme elles dans ce monde où tout s’accélère.

Allez y les yeux fermés ! Notaire agréable, à l’écoute et très compétent !

Reçu très rapidement pour formaliser un projet immobilier. J'ai apprécié la disponibilité de ce professionnel du droit. Notaire à l'écoute que je recommande.

Je tiens à remercier chaleureusement la personne en charge de l’accueil de l’office de Maître Quentin Tessier, notaire à Valence, pour le temps consacré à ma mère. J’espère toutefois que les clients bénéficient généralement d’une prise en charge plus adaptée que celle qui a été lui réservée a ma maman. Aujourd’hui, le monde m’a montré son visage le plus froid, celui où l’indifférence cruelle étouffe jusqu’à la dignité humaine. Ma mère, 73 ans, fragile et meurtrie par le poids de multiples pathologies — dont une incontinence qui la réduit au silence devant ses besoins les plus intimes , a osé demander une once de compassion dans un cabinet notarial. Elle voulait simplement utiliser des toilettes, un geste si simple. Mais la réponse de la dame à l’accueil a glacé l’air d’un mépris insondable. « Nos toilettes sont réservées à nos clients » , a-t-elle lancé, avec une arrogance masquée sous de faux sourires. Puis, comme pour achever cette humiliation, elle a désigné la gare voisine, comme si une femme âgée, tremblante et vulnérable, pouvait traverser la ville en urgence, telle une mendiante de dignité. J’étais là, captif d’une conversation téléphonique, ignorant que le cœur de ma mère se brisait en silence. Quand j’ai raccroché, j’ai vu ses yeux baissés, sa honte, son corps courbé. Alors, j’ai demandé à ma mère ce qui n’allait pas. Quand j’ai su ce qui s’était passé, j’ai pris ma respiration et je suis retourné dans ce bureau, droit devant cette femme. Poliment, mais fermement, je lui ai rappelé ce qu’elle aurait dû savoir : qu’une vieille dame, « ma mère », méritait plus de respect. J’ai sorti sa carte d’invalidité, ce bout de papier qui ne devrait même pas avoir à exister pour justifier l’humanité. Aujourd’hui, une vieille femme devient une « étrangère », indigne de compassion. Pourtant, malgré cela, nous avons dû partir. Traîner nos pas jusqu’à un café près de la gare, où ma mère a enfin pu se soulager. Comment en sommes-nous arrivés là ? À quel point nos âmes se sont-elles desséchées pour qu’une carte d’invalidité soit nécessaire pour réclamer un droit élémentaire ? Faut-il effacer une partie de son identité pour mériter d’être traité comme un être humain ? Quel monde laissons-nous germer ? Un monde où l’on marchande la compassion, où l’urgence d’une vieille dame devient un « dérangement ». Aujourd’hui, c’est ma mère. Demain, ce sera vous. Et alors, qui ouvrira la porte ?

Très à l'écoute et très professionnel. Cadre de travail très agréable ce qui rend les échanges fluides et plaisants.

Très bons conseils de Maitre Quentin TEISSIER, très professionnel, reactif et surtout tres humain ( assez peu commun dans la profession...)