Résidence Gandrille Bel Air Maison de retraite

Une maison de retraite à fuir malheureusement à cause de la direction que prône le lucratif à la place du bien être des résidents ! Personnel soignant à l’écoute, font de leur mieux malgré le manque de personnel. Mais la direction de cette EHPAD est à vomir, manque d’empathie, ne connaît pas ces résidents, etc… Cette EHPAD est en travaux depuis 4ans, elle oblige ces résidents à être dans des chambres doubles qui n’ont même pas les dimensions nécessaires dans la loi, même pas de rideaux pour séparer les lits (niveau intimité c’est 0/10)! Ma grand mère a était à côté de 2 personnes qui n’étaient pas adaptées à elle (harcèlement de sa voisine de chambre sur ma grand mère, la deuxième une pauvre dame avec des pathologies non adaptées à ma grand mère, qui l’ont mise en danger). Aujourd’hui ma grand mère est décédée, nous avons dû batailler avec l’équipe soignante pour obtenir une chambre seule pour la fin de ces jours, la direction nous répondait « et si il y a une admission, je fais comment ? ». C’est insupportable, aucune humanité, ni empathie ! Le profit est plus important bien sûr pour eux ! Et je ne dit pas tout, ça serait trop long… Je souhaite bon courage à l’équipe soignante pour continuer le travail qu’ils font malgré une direction sans valeurs humaines…

L’histoire commence par de belles promesses et très vite la froide et cruelle réalité montre son visage. À l’emménagement de ma grand-mère, ses affaires personnelles sont disposées dans une armoire non sécurisée dans le couloir, comme toutes les affaires personnelles des autres résidents du nouveau bâtiment. « Vous comprenez, l’EHPAD est en travaux ». Sa chambre, prévue pour être une chambre seule va vite accueillir une seconde pensionnaire. Le lit et le fauteuil de ma grand-mère sont alors repositionnés. Elle ne plus regarder la télévision ni se servir du téléphone. Tous les branchements ayant été prévus pour une seule personne. Ma grand-mère n’aura alors plus aucune intimité, ni dans sa chambre ni dans le cabinet de toilette. En novembre, ma grand-mère chute, aucune disposition médicale n’est mise en place. On ira même lui dire que ses douleurs sont psychosomatiques. Et bien non, car à sa seconde chute le 26 février qui lui vaudra une opération du fémur et dont elle ne remettra pas, le chirurgien orthopédique a parfaitement identifié une première fracture jamais soignée. Lorsque nous vous avons demandé des explications sur les conditions de sa chute, on nous a expliqué que « L’EHPAD compte 93 résidents, alors on ne peut pas être au courant de tout quand même ! » Et d’ajouter « Nous ne voulons pas que vous partiez de l’EHPAD avec une mauvaise image de l’établissement ». À son retour de l’hôpital le 3 mars, notre famille bataille pour avoir enfin une chambre seule. Nous obtenons gain de cause, une chambre au rez de jardin l’attend. Mais nouvelle déconvenue, son lit médicalisé ne rentre pas dans l’ascenseur, pourtant tout neuf. Une partie du lit est démonté et aucun soignant ne peut descendre avec elle, ascenseur dans lequel nous-mêmes étions restés coincés une semaine avant. Le lendemain de son retour à l’EHPAD, son médecin traitant, merveilleusement délicat et profondément humain, a compris que ma grand-mère souffrait terriblement et que malheureusement la mort allait l’emporter dans un futur proche. Les soins palliatifs ont été enclenchés. La direction a eu l’affront de nous dire que notre grand-mère n’était pas en fin de vie. Refusant pour elle les plateaux repas, la direction nous a rudement fait remarquer que nous la privions des fameux plateaux « Plaisir » ou « Confort ». Quelle honte ! Ma grand-mère n’ouvrait les yeux que quelques minutes par jours et ne pouvait plus ouvrir la bouche. « Le protocole ! », voici les mots de la Direction. Quelle indignité ! Quelle malhonnêteté ! Quelle inhumanité ! Ma grand-mère est décédée vendredi dernier. Son corps a quitté l’établissement le lendemain matin, caché par un drap, sur un brancard, aux yeux de tous, elle a franchi le sas de l’accueil, trimbalée comme une vulgaire marchandise. « L’EHPAD est en travaux, il n’y a plus d’accès particulier pour ce genre de chose ». C’est sur cette phrase que nous quittons l’EHPAD, le cœur meurtri par le deuil. Je nuance maintenant mon propos en partageant l’extraordinaire bienveillance et humanité d’une grande partie du personnel soignant et de service. Leurs petites attentions, leur extrême professionnalisme, leurs regards pudiques, leurs bras soutenants, le soin et la bientraitance dont ils ont fait preuve a été la seule source d’apaisement et de réconfort dans notre situation. Voici donc une semaine que ma grand-mère nous a quitté, la Direction n’a pas jugé utile de nous présenter des condoléances, alors que la Direction du SSIAD qui ne s’occupait plus de ma grand-mère depuis septembre 2024 à eu la délicatesse de le faire. Ce manque ultime d’humanité envers les résidents, envers leurs proches et aussi envers le personnel témoigne parfaitement du mode de gestion de cet établissement.

Ma grand-mère est en maison de retraite dans cette Ehpad et il y a beaucoup d’activités organisées pour les résidents qui le souhaitent. Je tiens à remercier le personnel qui est très gentil et compétent... Merci du fond du coeur de prendre soin de ma grand-mère comme vous le faites ❤️

Personnellement,ma grand-mère est là bas depuis 3ans. Je tenais à remercier le personnels soignants de cette établissement,pour sa bienveillance et son dévouement. Je tire mon chapeau à cette grande équipe pour tt le travail effectué au quotidien et avec humanité.

Infirmière gentil et professionnel mais qui manque de consignes pour soigner les résidents ,le médecin référent ne sert à rien ,il laisse les résidents souffrir, sans bip pour appeler la nuit ,(manque d’argent pour en racheter, mais gros budget pour agrandir), quand les gens sont à la veille de se faire hospitalisés dans un état grave, pas de change de couche malgré un escarre placé à ce niveau, ect.. Pas assez de suivi au niveau de la santé des personnes qui sont sous leurs protections, je ne recommande pas cette établissement.