SELARL N.STUHLER NOTAIRES Notaire

Alors que beaucoup de pays confient la mission d’enregistrement des transferts de biens et de prélèvement des inévitables et lourdes taxes à une administration, la France a encore recours à des notaires. Le coût pour le particulier est très élevé, car en échange de la collection des taxes considérables que l’Etat impute à la plupart des actes notariés, il assure aux notaires des revenus tout à fait considérables. Pour ceux d’entre nous qui ont l’expérience des notaires depuis quelques décades, ceux-ci, en échange de leurs émoluments très élevés, apportaient, avec une compétence courtoise, un service efficace et des conseils avisés. Il ressort de témoignages nombreux et de l’expérience récente -une vente immobilière- décrite ci-dessous, que ces notions de conseil, de service, et de courtoisie, sont aujourd’hui délaissées par certaines jeunes études. La communication fut quasi inexistante. L’étude a affirmé avoir envoyé des mails, mais... à une adresse inexacte ! Ces mails ne recevaient bien sûr pas de réponse, sans que l’étude ait apporté de correction. Plus grave, une erreur de ventilation du prix de cession commise par l’agence ayant reçu l’offre d’achat n’a pas “pu” être corrigée, ce qui a faussement augmenté le montant de la vente, portant préjudice aux vendeurs qui ont dû payer près de 2000€ de taxes supplémentaires, et indues. Encore plus grave. Alors que le transfert des fonds consécutif à la vente était retardé sans raison par l’étude Stulher, cette dernière a proposé à un des 3 vendeurs, par un email adressé à un parent indirect de l’ayant-droit (et non à l’intéressée), de confirmer le transfert de sa quote-part à une autre étude, dans une autre région, lointaine et insulaire. Informée, la bénéficiaire, qui bien sûr savait ne pas être l’auteur de cette demande, a signalé cette étrange demande à son fils, qui a pu joindre l’étude par téléphone pour interdire ce transfert. La clerc a alors indiqué que la forme de la demande n’était pas conforme aux usages entre notaires, et admis que cela semblait être une tentative de détournement de fonds ! Et pourtant, cette même étude avait fait suivre la demande sans aucun contrôle, et sans même informer de ses doutes la bénéficiaire. Nous avons contacté l’étude supposée recevoir le transfert des fonds qui nous a confirmé par écrit n’avoir jamais contacté l’étude Stulher, ni avoir été contactée par l’étude Stulher. Cette tentative d’arnaque bloquée (par les intéressés eux-mêmes), le paiement de la quote-part a encore attendu 2 semaines avant d’être effectué, l’étude Stulher niant avoir reçu les coordonnées bancaires de la destinataire, alors que sa banque a assuré les avoir transmises. Bien entendu, la bénéficiaire et ses proches ont demandé -à de multiples reprises- la copie des -supposés- échanges entre l’étude Stulher et l’autre étude, ainsi que la communication du “rib” fourni par ou via cette étude, lequel permettrait d’identifier immédiatement l’auteur de la tentative de détournement. L’étude Stulher a tout simplement ignoré ces demandes, laissant l’auteur de la tentative de détournement de fonds libre de continuer à nuire. L’étude Stulher a pu être involontairement complice, par une coupable négligence indigne d'un notaire. Cependant, son refus obstiné de fournir les pièces, de se justifier, de simplement s’excuser, incitent à penser que la responsabilité de l’étude Stulher pourrait aller bien au-delà de la négligence... Une plainte a été déposée contre l’étude Stulher. Vous pourrez lire la conclusion de cette affaire sur ma chaîne youtube.

Je recommande ! Vous cherchez des notaires qui dépoussièrent la profession? Sérieux et passionnés? Impliqués et objectifs? Allez donc chez maîtres Nathanaelle STUHLER & Sandrine COUSTY ! Discrétion. Rapidité. Humilité et Professionnalisme … Que des qualités pour cette équipe féminine, la jeunesse en prime. Leur charmante secrétaire vous donnera un rdv sans tarder ! Nous sommes très très satisfaits. Fini les notaires ancienne génération de Périgueux et Cie, avec leur façon de faire opaque et subjective .