Centre Hospitalier Buech Durance Hôpital psychiatrique

- Torture pharmacologique en cas de non-adhesion totale à leurs propos, - Refuse de communiquer les diagnostiques aux patient·es, - Peut même mentir sur la maladie réellement diagnostiquée et affichée dans le dossier - Communique avec les familles sans demander l'autorisation aux patient·es ni même les en informer, - Discriminations fondées sur le genre, les préférences sexuelles, l'origine ethnique et culturelle, l'apparence physique, vestimentaire et les croyances religieuses, - Infantilisation constante, - Enfermement abusif, - Difficulté à accéder à la médecine générale, - Privation de sommeil ou au contraire sommeil contraint, - Rapports mensongers aux autorités pour conserver la main-mise sur leurs patient·es, - Mentent à leurs patient·es, changent de mensonges plus tard et accusent le·a patient·es de troubles psychotiques quand iel jure n'avoir pas obtenu la même info précédemment [La source a obtenu cette info via un dictaphone pendant ses entretiens : la thèse de l'hallucination n'est donc pas plausible] - Dérives sectaires donc, pour faire court.

Comment vos psychiatres peuvent ils laisser partir un individu dangereux, qui s’est échappé trois fois de votre établissement en une semaine, dont une fois en mettant le feu à sa chambre ? Quelqu’un qui de surcroît résiste aux gendarmes. Si il tue quelqu’un, nous nous retournerons contre vôtre établissement !!

Bouteille cacher de ma colloc dans mon armoire, Trafic de vous savez quoi, chambre en collocation et ma chère colocataire et un autre patient faisait leurs affaires, mes traumas s’éveillent (à noter que ce même patient m’a fait 🚬 et j’avais très mal a la tête c’etait horrible et me parler de cet écart d’âge ridicule (13ans) donc par précaution et éveil de traumas je le dis à ce fameux infirmier; il ne m’écoute pas et retourne dans son bureau et ferme à clé, je fonds en larme sans repères, sans famille , sans personne à l’autre bout de ma ville natale J’ai refusé de dormir dans un cadre malsain et cet infirmier a refuser que je dorme dans le couloir. Les autres infirmières étaient plus humaines heureusement N’y allez surtout pas ce n’ai pas sécurisé Des chats aussi aigis que CET infirmiers qui n’attendent pas tout le monde pour aller à la cantine à l’extérieur alors qu’on doit avoir un bon pour y aller. Hôpital en plein campagne, je recommande pas. Ils ne prennent même pas connaissance de notre situation. Aussi nul que l’hôpital de GAP qui seulement nous surveille entre quatre murs. Allez aux hôpitaux de Paris nous sommes beaucoup mieux traités. Les psychiatres voient pas tous le monde chaque jour et y’en a que un par jour. Leurs système marche au ralenti. Hospitalisation faite pour rien.

Je suis mitigée . Avant on a eu une mauvaise psychiatre entre autre la bas , on a connu de meilleur Barret , Berger , Lefort . Le personnel est sympa souvent , certains non ,ou parfois fatigue . Il faudrait compléter par de bons psychologues en dissociation traumatique ou en visio a distance . Ce domaine est négligé.

Accueil téléphonique, service Provence, nul Aucune gentillesse, aucun tact et demande aux patients d’appeler la personne qu’on soit joindre au téléphone À chaque appel, on me dit que la personne va me rappeler, mais il ne lui passe jamais le message Le personnel est médiocre

Obligé de mettre une étoile c'est déjà de trop depuis ma sortie du centre ma santé est pire que avant

Personne manquant de tact trop familier avec ses patients ayant enregistré une conversation téléphonique j ais pu attendre un vocabulaire trop familier.