Écluse de Saint Léon de Vézère Site historique

Unnamed Road, 24290, 24290 Saint-Léon-sur-Vézère

Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur le Site historique Écluse de Saint Léon de Vézère qui ce trouve au Unnamed Road, 24290, 24290 Saint-Léon-sur-Vézère (24)..

Sur cette page dédiée, vous trouverez :

  • Des photos du Site historique Écluse de Saint Léon de Vézère
  • L'adresse exacte
  • Les horaires d'ouverture
  • Le numéro de téléphone
  • Les avis clients

Vous avez eu une expérience avec le Site historique ? N'hésitez pas à rédiger un avis si vous le souhaitez en bas de page pour aider d'autres visiteurs !

Les services :


Ouvert

Horaire d'ouverture

  • Lundi
  • Mardi
  • Mercredi
  • Jeudi
  • Vendredi
  • Samedi
  • Dimanche

Plan d'accès :

Les avis clients (4)

3 sur 5.0
  • Avatar de Christian.a
    Christian.a 08/06/2023 à 10:22
    Note de : 4 / 5

    Un joli petit village du Périgord

  • Avatar de Thierry.e
    Thierry.e 05/07/2022 à 16:15
    Note de : 1 / 5

    Accès rendu impossible à pied dans la mesure où il semblerait que chacun ait posé des interdits aux promeneurs.

  • Avatar de David.i
    David.i 30/06/2021 à 15:08
    Note de : 4 / 5

    Malgré une pluie persistante les artisans ainsi qu'un restaurateur de la place nous ont généreusement accueillis. Attention en cas de fortes pluies, le parking des camping cars reste boueux.

  • Avatar de joost.
    joost. 18/01/2021 à 13:30
    Note de : 3 / 5

    Ouvrage en pierre bien conservé semblable à l'écluse de Thonac. Accessible à pied depuis le village de Saint Léon en tournant à gauche après avoir traversé le pont. Suivez le sentier de randonnée/vélo sur quelques centaines de mètres. A la porte Conquil, suivre le sentier qui descend à gauche. J'ai préparé le mémoire suivant pour replacer les écluses d'Aubas, Montignac, Losse, Thonac et Saint-Léon dans leur contexte. En 1604, il fut proposé à Henri IV d'élargir le lit de la Vézère afin d'y faire passer des trains en bois. En 1606, il fut décidé de canaliser la Vézère. Les communautés de Sarlat et de Brive ont apporté une contribution de 150 000 francs. L'idée était de canaliser le fleuve entre Allassac et la Dordogne pour le rendre navigable au moins six mois par an. En 1669, ingénieur du Ferry de Louis XIV, dresse son « Recueil de cartes, plans et profils d'ouvrages réalisés pour la navigation des diverses rivières de la Guyenne ». Le plan général de la Vézère montre 6 écluses en pierre à Terrasson, Aubas, Montignac, Thonac, Saint-Léon et une structure en bois à Limeuil. Mais l’argent a disparu d’une manière ou d’une autre sans produire grand-chose. Dans les années 1786-1788, l'inspecteur général des Ponts-et-Chaussées, reprend le projet. Grand ingénieur, Brémontier envisage la possibilité de pousser la navigation jusqu'à Tulle (en amont de la Corrèze) par la construction d'un total de 24 écluses et de quelques canaux de dérivation. En 1791, la société Gitlard et Cie demande au Conseil Général de la Dordogne l'autorisation de rétablir la navigation sur la Vézère en lui accordant des droits de péage. De telles améliorations furent projetées que la reconstruction de la route (romaine) Lyon-Bordeaux (1789) s'arrêta à Terrasson. Mais 1789 est aussi l'année de la révolution, les travaux publics s'arrêtent et l'argent disparaît. Les travaux de canalisation reprennent sous le nom de « Canal du Duc de Bordeaux », en hommage au petit-fils du roi restauré, Henri d'Artois. L'ingénieur en chef Conrad (des Ponts-et-Chaussées), dresse de nouveaux plans basés sur des écluses de 4,55 m * 25 m équipées de portes cintrées, permettant le passage des navires de 35 tonnes. Les plans évoluent et 6 écluses de 5 m * 30 m, permettant l'accueil de navires de 50 tonnes, sont construites entre 1826 et 1828 (à Aubas, Montignac, Losse, Thonac, Saint-Léon, la Grambaudie). Mais la Compagnie des canaux de la Vézère (ou société Mévil) reçue en concession pour construire et exploiter « à perpétuité » le canal, volontairement fondée en 1825, liquidée en 1830. D'une manière ou d'une autre, vous l'aurez deviné, l'argent avait disparu... Les travaux se poursuivent, les portes d'écluse sont installées en 1842. L'écluse d'Aubas est ouverte à la navigation en 1843, la même année où est ouvert le canal de Lalinde sur la Dordogne. Le développement du chemin de fer et son utilité avérée ont conduit à l'abandon du projet. Même si les navires continuèrent à utiliser le fleuve, les travaux encore inachevés furent confiés à l'État en 1897. Le « Guide officiel de la navigation intérieure » de 1891 (Ministère des Travaux Publics), précise que la navigabilité de la Vézère s'étend, pour les navires de faible tonnage, de Terrasson à Limeuil, sur une longueur de 65 kilomètres. Mais : « La navigation est parfois forte difficile à cause des nombreux rapides ou la profondeur d’eau est très faible ; le mouvement est d’ailleurs peu important et à peu près nul en été. Sur la carte des voies navigables de France des manuels de géographie des années 1930, une ligne bleue cernait le cours de la Vézère jusqu'à Terrasson, où une ancre indiquait que la ville était le dernier port du fleuve. Malgré la déclassification officielle de la Vézère comme voie navigable le 28 décembre 1926.

Ajouter un avis :

Veuillez completer le formulaire ci-dessous.

Votre note :

Color Switcher