Oppelia Rivage Centre de désintoxication

18 Av. du 8 Mai 1945, 95200 Sarcelles
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Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur le Centre de désintoxication Oppelia Rivage qui ce trouve au 18 Av. du 8 Mai 1945, 95200 Sarcelles (95)..

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  • Des photos du Centre de désintoxication Oppelia Rivage
  • L'adresse exacte
  • Les horaires d'ouverture
  • Le numéro de téléphone
  • Les avis clients

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Les services :


Ouvert

Horaire d'ouverture

  • Lundi 09:30–12:30 13:30–16:30
  • Mardi 09:30–13:00 14:00–20:00
  • Mercredi09:30–12:30 13:30–17:30
  • Jeudi 09:30–13:00 14:00–20:00
  • Vendredi 09:30–12:30
  • Samedi Fermé
  • Dimanche Fermé

Plan d'accès :

Les avis clients (3)

3 sur 5.0
  • Avatar de Lisa.o
    Lisa.o 13/04/2025 à 16:38
    Note de : 1 / 5

    La 1re fois qu'un médecin m'a recommandé ce centre pour se débarrasser de moi, c'était il y a deux ans : en 24 mois je n'ai toujours aucune consultation et encore moins de suivi ou prescription chez eux. La majorité de mes coups de fil ont eu pour seule conclusion on n'a pas de rendez-vous, rappelez le mois prochain, et ce même durant ma grossesse quand j'insistais sur l'urgence de la situation (D'autres fois, on me parle d'aborder mon cas à une prochaine réunion sans me rappeler). En 2 ans ils ont accordé que 2 rendez-vous entre guillemets : l'un a été convenu avec ma mère instable et alcoolique (je suis majeure sans tutelle/curatelle mais c'est pas grave.) qui l'a évidemment vite oublié et dont je n'ai appris la date qu'après-coup car on ne m'a pas contacté personnellement, l'autre était au Blanc-Mesnil une date/heure où il était impossible de venir faute de transports fonctionnels et je l'ai expliqué bien à l'avance. Malgré tout on ne m'a pas proposer d'autres rendez-vous Malgré tout on conclut que je prends des rendez-vous sans jamais m'y présenter (j'y reviendrais plus bas) et on ne m'a jamais proposé de fixer un autre rendez-vous. Je ne parle même pas du fait que les horaires d'ouverture ne sont littéralement jamais les mêmes d'un jour à l'autre (et encore, ça doit être 1000x pire pour ceux engouffrés dans leur addiction au point d'être dans une précarité extrême ou sans notion du temps, donc incapables de regarder sur internet les horaires de chaque jour de la semaine ou de juste s'y adapter/s'en souvenir ?) Au passage, merci à l'employée qui a raconté toute ma situation de façon quasi-diffamatoire (femme enceinte dans la vingtaine avec une maladie chronique qui veut de la morphine et vient jamais aux rendez-vous, c'était pas trop dur de deviner qu'il y en a pas 25 et que ça me concernait) à son petit copain Pierre entre 2 sushis devant Netflix chez eux, ce dernier l'ayant ensuite divulgué sur un forum très connu en matière d'usage et réduction des risques : les mots confidentialité, secret professionnel et 'intégrité du patient étaient marqués sur le contrat et la charte pour faire joli ? J'ai accouché de mon petit garçon récemment : il est en train de se battre contre un syndrome de sevrage néonatal qui le fait souffrir et on va sûrement enquêter sur mon cas en me traitant de mauvaise mère toxicomane parce que les services sociaux se contrefichent de savoir que c'était un traitement pour une maladie chronique et que les centres n'étaient pas fichus de m'aider. Mais à part ça Oppelia aide les addicts, bien sûr...

  • Avatar de Liu.h
    Liu.h 20/12/2024 à 16:54
    Note de : 3 / 5

    Je ne peux pas donner un avis complet sur le centre en général, n'ayant pas encore pu être suivie après des mois d'échange. En revanche, je recommande à ceux qui ont besoin d'être suivis de se préparer à une attente très longue où on leur dira souvent qu'il n'y a pas de médecin/rendez-vous disponible et de devoir rappeler plus tard (y compris dans des cas d'urgence comme une grossesse à un stade déjà avancé). Il est également nécessaire d'apprendre les horaires d'ouverture par cœur puisqu'elles ne sont jamais les mêmes en fonction du jour de la semaine, ce qui complique beaucoup les échanges lorsqu'il faut les contacter ou les rappeler suite à une tentative d'appel à un moment où l'on était au travail. Enfin, même si l'accueil sera le seul véritable interlocuteur pendant plusieurs semaines ou mois, il faut vraiment attendre de discuter avec un médecin pour parler de sa situation/besoins/contre-indications et du traitement adapté, les secrétaires n'étant bien sûr pas addictologues et pouvant donc par moment donner des informations floues ou erronées (exemple : parler d'une association de Subutex avec un opiacé alors que cela ne doit jamais se faire ou penser que la Circulaire Girard n'est valable que pour des cas d'injection après de très longues années d'échec). Il est très important de l'aborder en détail avec une équipe médicale en étant bien renseigné à l'avance et non pas avec des personnes extérieures, surtout lorsque l'on est dans un cas spécial différent des suivis classiques

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