CHRS Le Beillard Centre médical public

Interdit le pécule de 20€ pour c'est résidents alors que je fais la manche pour mes transports, des papiers importants et pour la nourriture. Foutage de gueule que la justice face quelques choses car ce foyer dois fermer c'est porte on nous fou dans la gueule qui a une banque alimentaire alors qu'il à rien a bouffé .

drogue dans toutes les chambres alcool bourbon aussi des gens se pique dans les wc douche toilette dégoutant urine et defection de chat non netoyer faire dormire les genre dehors sur des supposition la directrice n'ecoute rien meme en lui montrant les preuve sous le nez se base sur des mensonge et vous vire par moins 5 blesser ou non chambre degrader et le mots et faible pour un endroit censer etre sans drogue jen ai jamais vue autant aucune ecoute se donne bonne conscience avec de pseudo reunion le lundi de 20minutes en ailllant toutes les photos les preuves qui seront publier dans les journaux je deconseille quiquonque dit aller..... bref une prison et plus propre et eu moins meme avec une heure de retard on vous laisse pas sans traitement ....

Une directrice incompéten et complètement gogole gros merde

Une histoire humaine

Coup de Gueule ! Il est rare pour moi de poster quelque chose sur Facebook ou sur les réseaux sociaux en général. Mais je viens de vivre une histoire assez folle et je voulais la partager ici ! La semaine dernière, je prend contact sur internet avec un jeune Alsacien de 24 ans dans une grande précarité. A la rue, sans ressources, sans vêtements de rechanges etc... Je décide de lui venir en aide, je vais le chercher, je le loge quelques jours, apprend son histoire, et m'engage à faire des démarches nécessaire pour le sortir de là. ( démarches administratives, recherche d'emplois, CV, etc...) Lundi je contact le 115 pour trouver une solution d'hébergement durable, afin que celui ci puisse obtenir un logement en foyer ou autre. Ce jeune homme est déjà très mal reçu au téléphone ( je suis à côté et entend la conversation) La personne à l'autre bout du fil le prend de haut, avec dédain, le questionne avec un air suspicieux sur l'urgence de la situation. Pour lui, ce n'est pas une situation d'urgence, puisque logé par un tiers ( moi ). Nous sommes renvoyer vers un CCAS de la ville voisine. Une fois sur place, on nous demande de repasser le lendemain. Je garde le jeune homme ce jour là à nouveau chez moi. Le lendemain, nous nous rendons de nouveau dans ce centre. On nous signal que la personne est en vacances 15 jours... Nous rappelons le 115. Nous somme dirigé vers la mairie d'une ville voisine (à 30 minutes de route, je vis dans la montagne) Le jeune homme rencontre un travailleur social, qui prend son numéro et doit le rappeler pour un rendez-vous ( toujours pas d'appel à ce jour). Nous nous dirigeons directement vers le foyer d'accueil de la ville de Gerardmer.( CHRS Le Beillard )., nous sommes informé qu'aucune prise en charge est possible directement sur place et que nous devons contacter le 115. Nous rappelons le 115... Le jeune homme tombe à nouveau sur la même personne que Lundi, et est également mal accueillis par téléphone, avec un ton très dur, je décide de prendre le téléphone et d'expliquer clairement la situation, qui n'a pas l'air d'être comprise ! Après avoir parler avec ce monsieur, on m'explique que nous allons être contacté dans l'après-midi pour un logement d'urgence, car une rencontre avec un travailleur social mettrai trop de temps. On nous rappelle vers 16h en nous disant de nous rendre au même foyer ( CHRS Le beillard ). Une fois sur place, le jeune homme rencontre la directrice de l'établissement, Mme Morelle et ressort du bureau en venant me voir et me disant qu'elle ne peut le garder qu'une nuit et qu'elle n'est pas très agréable) Je décide d'aller rencontrer cette dame. Cette personne, d'une antipathie rare, agressive, impolie ne souhaite pas me recevoir, ne m'invite pas à rentrer dans son bureau et m'explique sur le pas de la porte, qu'elle ne peut pas le prendre un charge, pas suffisamment de place, et ça coûte 17000 euros par an, et que ce n'est pas gratuit, et il vient d'ou ce jeune homme ? d'Alsace ? ben c'est votre problème maintenant , il faut le ramener en Alsace et qu'il appel le 115. et finis la conversation en me disant : et ne nous ramener plus personne ! J'ai rarement vu cela dans ma vie, une telle agressivité, aucune empathie, je suis resté sans voix, et comprend ce que peuvent vivre ces gens dans une grande précarité, Je repars avec le jeune homme et depuis je l’héberge toujours. Nous n'avons pas trouvé de solution d'hébergement. Cependant il a trouvé un travail et à commencé ce matin ! ouff une bonne nouvelle... Un petit texte pour dénoncer ces pratiques, cette organisation, des personnes mis en place en direction de structure d'accueil, sans la moindre once d'humanité. Doit-on accepter cela ? Je vais faire mon maximum pour que cela se sache, et même si cela ne change rien, j'aimerais que cette histoire aide des personnes à ouvrir les yeux sur les modalités d'accueil difficile en centre d'hébergement pour des personnes déjà en grande souffrance psychologique. Texte de Cédric Salmon repris sur sa publication.